Les constructions de Laurent Pagano questionnent l’espace : celui que l’on observe, celui que l’on meuble et celui que l’on habite.
Offrant un basculement continuel entre micro et macro, les œuvres agissent comme des objets de contemplations où se chevauchent nature, architecture et éléments de mobilier domestique. La miniaturisation du connu, du lieu de vie, de l’habitation est une constante dans son travail.
La maison suggère une mise en abime où l’objet observé contient en lui-même une multitude d’autres objets inaccessibles, le visible cachant l’invisible. Les sculptures attisent cette envie profondément humaine d’observer à l’intérieur des choses; le regard se déplaçant et cherchant au travers des ouvertures quelque chose à découvrir.
Source: montreal.ca
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