Actions torpillées

Photo: Getty Images/Hemera

Les médias en ont fait état abon­damment : cette année marque le centenaire du naufrage du RMS Titanic, pourtant réputé insubmersible.
D’immenses entreprises d’en­­ver­gure internationale, solides, stables et rentables, semblent aujourd’hui connaître le même sort que ce paquebot légendaire.

Contre toute attente, leur action s’effondre subitement, que ce soit en raison d’une mauvaise gestion, de malversations ou de retards technologiques, notamment.

Pensons à des fleurons de l’économie canadienne dont l’étoile a pâli du jour au lendemain : Nortel, Groupe Pages Jaunes, Research in Motion, Sino-Forest et, récemment, SNC-Lavalin. Comme vous le voyez, on ne parle pas de peti­tes sociétés sous-capitalisées…

Aux États-Unis, les cas d’actions soudain torpillées sont encore plus nombreux et aigus.

N’importe quel investisseur  boursier voudrait se prémunir contre de pareilles déconfitures. Comment? C’est facile : en utilisant des fonds négociés en Bourse (FNB) ou des fonds de placement, dont l’actif est réparti entre une grande variété de titres, assurant ainsi une saine diversification et un contrôle adéquat du risque.

Prenons, par exemple, le secteur de la technologie, très volatil depuis 10 ans. Le FNB QQQ permet d’investir dans les 100 entreprises américaines qui composent le NASDAQ 100. Certes, Apple compte déjà pour 20 % de l’indice, mais le FBN détient aussi des participations dans 99 autres sociétés.

Et, suivant les règles élémentaires de la diversification, vous ne vous limiterez pas à ce seul FNB : en effet, il ne faut jamais mettre tous vos œufs dans le même panier!

En mettant l’accent sur la plus large diversification possible, vous pourrez dormir en paix.

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