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Montréal-Nord : réussir en affaires et en français

Photo: 123rf.com

La bosse des affaires, c’est l’apanage d’un grand nombre d’entrepreneurs à Montréal-Nord. Composé de commerçants dévoués, d’artisans talentueux et de restaurateurs formidables, en plus de toutes ses entreprises manufacturières et d’un grand bassin de professionnels tous azimuts, le kaléidoscope économique de notre territoire est résolument riche et diversifié. C’est d’ailleurs ce qui fait sa force, sa beauté!

Or, à l’aube de l’entrée en vigueur de la loi 96, dans un contexte où les obligations linguistiques en matière de francisation sont parfois méconnues, la barrière de la langue peut représenter un frein au développement pour plusieurs entreprises. Qu’à cela ne tienne, la Chambre de commerce et d’industrie de Montréal-Nord (CCIMN), qui avait déjà commencé son travail bien avant l’arrivée de la loi, est là pour les aider.

Un accompagnement gratuit et… profitable!

Avec la contribution financière de l’Office québécois de la langue française (OQLF), la CCIMN a lancé le projet « Le français en affaires » sur le territoire de Montréal-Nord. S’adressant aux entreprises de 50 employés et moins, on désire offrir un accompagnement personnalisé et collaboratif vers la compréhension et la mise en place de bonnes pratiques en matière de francisation.

Il n’y a pas de pression ici, et on ne fait pas la morale. Tout se fait en fonction des besoins, du temps et des priorités de chaque entreprise. Du cas par cas. Un contact est établi entre l’entreprise intéressée et la Chambre qui fait le pont avec l’OQLF. Celui-ci propose ensuite à l’entreprise une autoévaluation afin de bien connaître ses besoins. Des objectifs sont fixés et des ressources spécifiques lui sont allouées.

En plus de cet accompagnement personnalisé, divers outils de francisation sont mis à la disposition des entreprises, comme un guide pratique portant sur l’utilisation des médias sociaux, un document sur les bonnes pratiques linguistiques en entreprise et plusieurs autres ressources utiles, disponibles sur la page du projet de la CCIMN.

L’objectif ultime? Aider les entreprises de Montréal-Nord à réussir en affaires au Québec, car faire le virage vers de meilleures communications avec la majorité de la population ne peut avoir que des effets positifs. Au Québec, trois personnes sur quatre disent d’ailleurs préférer magasiner et s’informer en ligne en français.

Entre autres, la francisation permet de développer des outils efficaces pour :

  • Attirer et fidéliser une nouvelle clientèle;
  • Augmenter la satisfaction à l’égard des produits;
  • Rehausser la notoriété de la marque;
  • Accroitre la rétention et le sentiment d’appartenance du personnel;
  • Diminuer le nombre d’erreurs et le nombre d’accidents;
  • S’assurer de respecter ses responsabilités à l’égard de la loi.

Qui plus est, dans le contexte de la pandémie, il est apparu indispensable de prendre le virage numérique pour communiquer et faire des affaires, ne serait-ce que pour demeurer près de ses clients et de ses employés. Le faire en français permet évidemment de rejoindre un plus grand bassin de clients potentiels… et de prospérer de plus belle.

Le français : une langue de travail et d’intégration

Un autre défi s’est imposé dans les dernières années : celui d’attirer et de retenir une main-d’œuvre qualifiée. De surcroît, le phénomène de rareté de la main-d’œuvre n’a fait que s’amplifier durant la pandémie.

Or, en favorisant le français comme langue maîtrisée lors de l’affichage d’un poste, on augmente significativement son bassin de candidatures, avec un potentiel bien souvent insoupçonné… Plus de candidats, plus de chance de trouver la perle rare!

Aussi, avec le français comme langue de travail commune, on offre un environnement inclusif où les nouveaux employés seront plus facilement intégrés, et on gagne en productivité, en limitant le nombre d’erreurs. C’est un projet qui ne peut que faire des gagnants!

Les impacts de la loi 96 et comment en tirer profit

Le projet de loi sur la langue officielle et commune du Québec prévoit que les entreprises employant de 25 à 49 personnes seront désormais visées par les dispositions qui s’appliquent présentement aux entreprises employant de 50 à 99 personnes.

Pour la CCIMN, c’est le moment idéal pour mettre de l’avant son programme d’accompagnement, car le renforcement de la loi démontre à quel point cet enjeu est désormais central pour les entreprises. Se faisant, la Chambre veut encourager l’entrepreneuriat en français et assurer un meilleur vivre ensemble, en faisant de la langue non seulement un outil pour mieux réussir, mais également pour faciliter l’intégration des nouveaux arrivants.

Vous connaissez une entreprise qui pourrait bénéficier de ce programme d’accompagnement?

Apprenez-en davantage au ccimn.qc.ca/francais-en-affaires






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