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A celle d’à côté

Après un an à essayer de régler cette relation déficiente, j’ai décidé qu’ignorer ton existence apaiserait la douleur qui afflige mon cœur. Ça fonctionne. C’est sûr que quand je te croise, j’ai des pincements nostalgiques; après tout, tu es si jolie, ce sourire et ces rires me manquent… Désolé pour les inconvénients collatéraux.

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