Tu étais dans le vent et la pluie avec tes journaux que tu distribuais en criant les titres de la une. Je n’avais jamais lu ce journal, mais, en passant près de toi, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller recueillir mon exemplaire pour pouvoir admirer tes yeux pétillants que ton gilet orange fluo faisait ressortir. Pendant une minute, nous avons eu une connexion intense, c’était comme si on se connaissait depuis la nuit des temps. Ce moment magique a malheureusement été interrompu par le vent qui s’est engouffré dans mon parapluie et par le flot de voyageurs endormis qui voulaient connaitre les mauvaises nouvelles du jour. Si tu reconnais la scène, répond-moi dans les commentaires.