Mon cher, depuis que je suis revenue à la vieille place et que je n’ai plus d’opportunités d’entendre ta belle voix radiophonique et d’avoir le plaisir de te voir lors de tes visites au bureau, je n’arrête pas de penser à toi. Penses tu à moi aussi? J’aimerais apprendre à te connaître davantage. Quoi faire?