Tu t’assoies et je me dis c’est merveilleux. Tu passes la langue sur tes lèvres et je me dis tiens, c’est merveilleux, elle a une langue. Ta main dans tes cheveux, c’est merveilleux, comment as-tu trouvé ça ? Tu respires, c’est merveilleux : tu transformes l’oxygène en chaleur, ta poitrine se soulève, c’est merveilleux. Tu regardes par la fenêtre, quel ennui, penses-tu, quelle merveille ! que je pense. Merveilleux, tout chez toi est merveilleux, c’est merveilleux.