Maintenant je dois donner vie au papier, je vais lui rendre visite, l’immortaliser à l’encre vivant, il faut que la poésie marche dans la rue, cherchant le lecteur lointain, se perdre parmi le coeur de l’homme, dans l’inconnu pour qu’ils ramassent soudain ce qui est en nous, cette visite imprévu enseveli que le temps fera fleurir…bisou…je vous aimes…