Il y a des lunes que je te cherche. Des lunes que je souhaite une reconnection. Comment te retrouver dans toutes ces stations du Métro ? Comment savoir que c’est toi entre ces trop nombreux Anon, Si, Moi, l’Autre…Ne pas se devoiler comme Sylvain – Martine, bonne idée. Mais diantre, devoilez un peu, brandissez un signe distinctif. Le sac à dos gris à Lionel-Groulx, c’était toi ? Avec GPS, c’était toi? Je te vois partout. Chaque petite frisée rend fébrile l’aiguille de ma boussole. Chaque parole fine me font apparaitre tes lèvres, chaque dévoilement d’un espoir met mon coeur en chamade.