Cathé, ton nom m’inspire comme la brume de mon café gris. J’ai essayé de te déverser tout l’amour de mon coeur dans un juteux courriel, mais le tout me rebondit en plein visage. Peut-être as-tu fais une erreur dans ton adresse? En l’absence d’autres moyens de te parler, je prends d’assault cette tribune pour te crier haut et fort que je roule. Je roule sous la pluie pour te rejoindre, avec tout ce qu’il nous faut dans le coffre à gants. J’espère que tu seras encore là pour moi. Sinon que dieu me pardonne, parce que je pourrais bien faire n’importe quoi.