Je t’ai aperçu lorsque le métro s’arrêta à Henri-Bourassa le 3 novembre vers 9hres. Grand, cheveux brun coupé court, yeux verts ou peut-être bleus. Gênée, je me suis permise de lancer quelques coups d’œil à ta direction. J’étais heureuse que le wagon se remplissait pour que tu ne me remarque pas. Je crois que tu as remarquée ma présence, mais, bon. Tu es sorti à Lucien-l’Allier alors que j’ai sorti mon roman de mon sac.