C’est certain que tu ne liras jamais ce message, mais je le lance au vent en espérant qu’il te retrouve… Je pense à toi, bel homme grand aux cheveux noirs et et belle barbe qui lisait ce matin le magazine The New Yorker, qui est mon préféré! Moi, j’allais débout, en train de lire Bonheur d’occasion, dans un wagon de la ligne orange, face à toi qui étais assis. Tu portais un beau manteau noir, un foulard à carraux écossais et un pantalon bourgogne.