Soutenez

Bonne semaine

J’ai souvent pleuré, crié ma peine, ma douleur.
Je me suis souvent senti seul, abandonné.
J’ai voulu m’isoler, blessé par trop de trahisons, convaincu que personne ne méritait ma confiance.
J’ai erré, marché sans but, pensant qu’il valait mieux mourir de solitude que de mauvaise compagnie.
Puis un jour, quelqu’un m’a tendu la main alors que je n’attendais rien.
Quelqu’un m’a ouvert son cœur alors que je scellais le mien. Quelqu’un m’a pardonné alors que je l’avais blessé volontairement.
Alors, à ce moment là, j’ai compris que dans la vie, il y aura toujours des événements qui nous pousserons à ployer sous le poids des difficultés.
Il y aura toujours des jours où le soleil ne se lèvera pas pour éclairer notre chemin, il y aura toujours des gens qui voleront nos espoirs.
De même, il y aura toujours des moments de pur bonheur. Il y aura toujours des moments où nous serons juste fiers d’être qui nous sommes, là où nous sommes et avec qui nous sommes.
Sûr de cela, je suis sorti de ma mélancolie et j’ai réappris à vivre, à donner sans attendre.
On n’a pas besoin de beaucoup pour être heureux.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.