Endless Love: full sentimental

À l’occasion de la sortie en salle  d’Endless Love, film de Saint-Valentin par excellence, sa vedette Alex Pettyfer avoue qu’au fond, il est un romantique fini.

Alex Pettyfer est presque gêné de l’admettre : il est un grand romantique. Quand on lui a proposé le rôle principal dans la nouvelle version d’Endless Love (Un amour infini), l’acteur britannique n’a donc pas hésité une seconde.

Après tout, il n’y a rien de mal à être un sentimental. Surtout pas en ce jour de Saint-Valentin! Métro lui a posé quelques questions.

Endless Love semble être un film difficile à tourner émotionnellement parlant. Comment l’avez-vous attaqué?
Ce qui était le plus difficile pour moi lors du tournage, c’était l’âge de mon personnage. Vous savez, quand vous avez 23 ans, comme moi, vous voulez qu’on vous prenne pour un homme. Vous voulez avoir 30 ans. Et je devais jouer un homme de 18 ans. J’ai donc dû plonger dans cet état d’esprit très naïf et très innocent que commandait le rôle. C’était très amusant à faire, mais c’était aussi très difficile pour moi.

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Je ne me souviens pas d’avoir été naïf et innocent à 18 ans…
À 18 ans, on croit qu’on sait tout sur tout! (Rires)

On dirait que plus un film est romantique, plus ses acteurs doivent répondre à des questions très personnelles quand vient le temps des entrevues. Comment composez-vous avec ça?
Je dis non, tout simplement! (Rires) Je suis très franc à ce propos. Je n’ai pas vraiment envie de parler de ma vie privée.

Quelle est votre opinion personnelle des films romantiques?
J’adore les films de ce genre. J’aime Love Actually. J’aime Bridget Jones. C’est presque gênant à dire, mais je suis un maniaque de comédies romantiques! Je voulais vraiment jouer dans un film romantique. Je suis très chanceux d’avoir participé à ce projet. Au fond, je suis un romantique fini!

Avec quel réalisateur rêvez-vous de travailler un jour?
J’adorerais travailler avec David Fincher. J’aime la façon dont il tourne et les techniques qu’il emploie. Il fait toujours beaucoup de prises. Il croit que les acteurs faiblissent après un certain moment avant de se rebâtir une conscience, ce qui leur donne un éclairage nouveau sur la scène et les amène ailleurs. Il peut faire jusqu’à 60 ou 70 prises. J’aimerais bien vivre cette expérience un jour.

Vous étiez du grand succès Magic Mike. On parlait d’en faire une comédie musicale. C’est encore dans les cartons?
Oui, je crois qu’ils travaillent là-dessus. Mais c’est pour la scène. Pour Broadway. Et moi, je suis horrible sur une scène. Vraiment horrible! J’ai besoin d’entendre «Action!» et «Coupez!».

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Endless Love
En salle dès vendredi