Soutenez

Quelques conseils en cas de pépin

Plu­sieurs d’entre vous se po­sent la ques­tion : en cas d’accident ou de maladie, disposerez-vous de liquidités suffisantes? Pour éviter de puiser dans votre épar­gne, souscrivez une assurance santé. Faites-le même si une police collective de votre employeur vous couvre déjà, car la transformer en assurance personnelle quand vous prendrez votre retraite vous coûtera cher.

La Société canadienne du cancer estime que deux personnes sur trois seront attein­tes de cette maladie. Pourquoi ne pas combiner les avantages d’une assurance vie avec ceux d’une assurance en cas de maladie grave?

Si vous êtes travailleur autonome, l’assurance invalidité vous intéressera particulièrement, car elle vous permettra de compenser une perte de revenus attribuable à la maladie ou à un accident et de respecter vos engagements financiers.

Si vous êtes dans la cinquantaine, une assurance contre la perte d’autonomie vous apportera la paix d’esprit : elle permettrait d’obtenir, si beoisn est, une rente non imposable grâce à laquelle vous pourriez rester à domicile.

Puis, offrez à vos enfants, pendant qu’ils sont encore jeunes, une protection qui leur sera ensuite acquise; autrement, leur assurabilité pourrait être compromise à l’âge adulte s’ils tombaient malades d’ici là.

Enfin, n’oubliez pas d’assurer vos biens pour un montant au moins égal à leur valeur imposable, de sorte que votre succession puisse régler le fisc sans problème. N’hésitez pas à consulter un spécialiste pour connaître les couvertures les mieux adaptées à vos besoins.

Et, puisque notre situation professionnelle et familiale évolue avec le temps, songez à revoir vos protections actuelles. Notre chroniqueur sera en vacances à compter  de la semaine prochaine. Il sera de retour à la rentrée.

Articles récents du même sujet

/** N3 */

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.