Les voix québécoises de Coraline
Catherine Brunet, Geneviève Brouillette et Jean-Michel Anctil ont prêté leurs voix à la version française québécoise de Coraline, le dernier film d’animation d’Henry Selick (The Nightmare Before Christmas). Métro s’est entretenu avec les trois comédiens.
Catherine Brunet
Enfant, qu’est-ce qui vous faisait peur?
J’avais peur de tous les trucs qu’on ne voyait pas : les monstres en dessous de mon lit, les monstres dans mon garde-robe… Encore aujourd’hui, j’ai des petites frayeurs dans le noir!
Votre film pour enfants préféré?
The Nightmare Before Christmas. J’ai tout de ce film-là. J’ai la sacoche, le chandail, la vidéocassette. Je suis une très grande fan d’Henry Selick et de son univers.
Votre personnage en quelques mots?
Coraline, c’est une petite fille avec beaucoup d’imagination. Elle est hyper énergique.
Jean-Michel Anctil
Enfant, quel est le film qui vous a fait le plus peur?
Sinbad. C’est à l’époque où ils commençaient à faire de l’animation en plasticine!
Votre film pour enfants préféré?
Les Astérix.
Geneviève Brouillette
Croyez-vous que le 3D représente le futur du cinéma?
Je crois que oui… mais il faut éviter les pièges. Les premiers films en 3D, c’était impossible de les regarder. Quand ça ne nous donnait pas mal au cÅ“ur, l’histoire était plate à mourir, parce qu’on tablait uniquement sur les effets visuels. Ça s’est amélioré avec le temps.
Qu’est-ce que la technologie 3D apporte à Coraline?
De la texture. Ça nous permet d’entrer dans l’univers d’Henry Selick.
Enfant, qu’est-ce qui vous faisait peur?
Les araignées. Ça me fait encore peur aujourd’hui! J’avais aussi peur d’être abandonnée.
Votre personnage en quelques mots?
Une mère fatiguée et débordée…