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Métro au 7e ciel

 

1

Un problème de type grec

Cannes ne serait rien sans ses potins et ses polémiques qui font jaser… et, admettons-le, qu’on prend beaucoup de plaisir à suivre! Tel un écolier discipliné, le cinéaste Jean-Luc Godard a tenu à faire parvenir un mot d’excuse cette semaine pour justifier son absence: «À la suite des problèmes de type grec, je ne pourrai être votre obligé à Cannes. Avec le festival, j’irai jusqu’à la mort, mais je ne ferai pas un pas de plus.» Le billet, «délicat», est tout de même signé «Amicale­ment». Sur la Croisette, on accuse déjà le réalisateur d’avoir fait un film auquel la plupart des critiques «n’ont pas compris grand-chose». Certes. Mais avec sa classe. (Marie Lyan)

2

Les chick’n swell

Vous avez raté les Olivier pour cause de match de hockey? Vous pouvez au moins vous rattraper en regardant la capsule très drôle en ligne sur le site de Radio-Canada, où le trio brainstorme au sujet du gala pendant que le cousin de Francis, Robin Aubert, note tout… Fous rires assurés! (Jessica Émond-Ferrat)

3

L’avant-cabaret

La troisième édition du Cabaret Insupportable repousse encore une fois les limites du supportable, et ce, dès notre arrivée au Lion d’Or. À peine a-t-on franchi la porte que la «gérante» de Transthéâtre, trop zélée, nous accueille et nous force à nous coller les uns sur les autres dans une ligne d’attente fabriquée en direct par un employé bourru avec du tape. Ensuite, les mo­ments insupportables s’enchaînent :  employés peu sympathiques, fouille
cor­porelle, assaut de spots dans les yeux, agression musicale (la chanson de Céline On s’est aimé à cause en boucle), attaque de Purell et bien d’autres. Juste pour cette demi-heure qui précède le show, on a ri pour au moins 25 $.   (Audrey Lavoie)

4

 

Woody Harrelson
Avec la sortie de The Messenger en DVD?la semaine dernière, on a pu savourer une fois de plus le talent de Woody Harrelson, qui y joue un militaire chargé d’annoncer la mort des soldats de l’armée américaine aux familles concernées. Après ses autres délicieux rôles dans Zombieland et Seven Pounds, on en veut plus!  (Jessica Émond-Ferrat)

5

Biutiful : featurette

Alors que le Festival de Cannes déverse son flot de projections cinématographiques sur le monde entier, le commun des mortels doit patienter plusieurs mois avant de visionner le sujet de ces grands débats. Heureusement, l’attente n’est plus une obligation, puisque la vidéo de l’un des films les plus prometteurs (Biutiful, réalisé par Alejandro González Iñárritu) a été mise en ligne sur You­Tube. Sur cette featurette de 46 secondes, on peut voir les premières images du tournage et du montage. (Marie Lyan)

6

Solidayiti
Après les shows-bénéfices et les campagnes pour amasser des dons pour Haïti, ce sont maintenant des enfants d’ici qui tentent d’aider des enfants haïtiens. À l’initiative de la maison d’édition du Passa­ge, des élèves de 6 à 17 ans de l’école Villa Sainte-Marcelline ont écrit ou dessiné pour témoigner leur compassion aux Haïtiens. Le Dr Julien, Dany Laferrière et James Noël ont joint leurs efforts aux leurs . Pour cha­que recueil vendu (24,95 $), 8 $ seront versé à Développement et Paix pour reconstruire des écoles en Haïti.
(Catherine Girouard)

7

Le clip de karkwa
Le groupe Karkwa a présenté cette semaine le clip du nouvel extrait de son album Les chemins de verre intitulé Marie tu pleures. Ce titre, qui est aussi l’un des plus pop de l’album, nous plonge une nouvelle fois dans l’ambiance singulière du groupe. La vidéo, qui capte l’atmosphère feutrée et les couleurs chaudes d’une scène plutôt intime, est un petit bijou mis en boîte par Nathanaël Le Scouarnec (La Blogothèque). On ne se lasse pas de visionner cet extrait en attendant que le groupe fasse sa rentrée montréa-laise, le 30 septembre, au Métropolis. (Marie Lyan)


 Métro en enfer!
Cette semaine, on se désole pour…


Banquier : le livre

Arrivé cette semaine dans nos bureaux : Le Banquier : grattez pour jouer. Oui, un concept de livre-gratteux! Mais non, il n’y a pas d’argent à gagner. Le livre offre une centaine de scénarios dans lesquels le lecteur doit gratter des valises afin de connaître le montant qui s’y cache. On ne choisit pas ses valises, on ne fait que les gratter. Évidemment, on doit s’arrêter au bon moment afin de «gagner» le plus gros montant possible. Mais comme il n’y a pas d’argent en jeu, on se retrouve avec zéro stress et zéro plaisir. À moins d’aimer gratter juste pour gratter. L’avantage, c’est qu’on n’a pas à subir Julie Snyder… (Christian Duperron)

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