Ça t’arrive de postillonner quand tu parles, des fois aussi tu fais des dances moves un peu douteux… tu te plantes presqu’à chaque fois que tu parles des femmes et plus tu essaies de t’en sortir, plus tu t’enfonces. Aujourd’hui, dans le métro on a lis les horoscopes ensemble le tiens parlait de la peur de l’engament et le miens d’effeuiller trop souvent la marguerite. Malgré tous ces petits défauts que je découvre un peu chaque jours, saches que les pétales de la marguerite sont tombés depuis pas mal longtemps déjà. Autrement dis, les trois prochaines semaines ne seront pas facile, en autre parce que je risque vraiment de m’ennuyer de ton si beau sourire, de ton rire contagieux, de tes belles fesses (désolé légère obsession), de l’originalité de tes sous-vêtements, la chaleur de ton corps et par dessus tout, l’incomparable douceur de tes mains. Je te l’ai déjà dis, quand tu dormais, je te l’ai l’ai déjà entendu dire, peut-être maladroitement. Si je te ne l’ai pas encore dit officiellement, ce n’est pas par peur de tomber sur une autre marguerite. J’ai simplement envie que tu y crois aussi et je trouve le moment mal choisis. Je veux que ta confiance ne dépende pas de cette officialisation verbale si banale.
PS: I told you i would do it but you probably didn’t believe me and therefor you’ll never read me and it’s juste perfect like this.