Dans cette vie, les minutes compte. Nous nous sommes rencontré à midi de notre existence. Je t’ai repoussé dans les corde de l’arene de notre étrange amitié. Je comprends tout le mal que j’ai pu te faire. Je suis malheureux sans toi sans ton regard, ton odeur et nos instants volés. Je ne suis plus qu’un casse-tête auquel il lui manque la pièce centrale. J’ai la peau et le cœur abimés, tu n’as pas choisi de me rencontrer, je dois attendre, je dois attendre sans espérer. Plus je passe du temps à te connaître plus j’aimerais que tu sois libre avec moi.