On ne sait plus comment aimer,
tout ce qu’on touche on le brise.
Englouti par le quotidien effréné,
Impossible de s’échapper.
Mes yeux qui ferment.
Je cherche le repos dans ce grand tourbillon.
Tout est flou,
Ton visage comme seul repère
J’ai envie de goûter à nous,
Ça m’brûle par en dedans.
Le désir de l’imparfait,
Se consumer avec passion.
Étouffée par l’idée de ne jamais savoir ce que serait « nous ».