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M. Je te cherche toujours un p’tit nom glorieux.

Tu me manques, dès que je ne te sens plus. Ta complicité, nos fous rires, nos débats et nos plans grandioses s’y mêlent… Ta seule présence me calme et me rend joviale. Nous ne sommes pas « ensemble », je sens que tu veux aussi, mais tu n’oses pas, et pour moi c’est comme devoir traverser un champs de mines. Ya’ l’amitié que j’ai peur de perdre et le fait qu’on travaille sur un même projet, je ne sais plus sur quel pied danser, mais quand il faut y aller… Toé pis moé! Rien ne nous arrête, tu es historien tu dois en connaître d’autres héros comme nous. Je t’écoute, raconte-moi tout sur tout et sur toi, j’ai un goût magnétique de m’abandonner dans tes bras, pourtant je ne me laisse jamais aller, j’aime ça être une femme indépendante. Mais qu’est-ce que tu me fais? J’adore t’entendre t’inquiéter sur mon cas et moi te charier avec ça. Puis tu ris, et tu admires mes maladresses, mais aussi ma générosité et ma spontanéité. Je te vois à toutes les semaines, les papillons ne me quittent jamais et ce depuis 2 ans. En attendant, je savoure chaque instant en ta compagnie, aurai-je le courage de te dire « Je t’aime » avant que tu partes travailler l’autre bord de la frontière cet été?..

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