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Olaf aux lunettes fumées

À toi qui ne fait pas ton âge mais qui fait mille et un coups. À toi qui rendait le collage de post-it tellement plus amusant. À toi qui comprenait mes plaisanteries – même les moins bonnes. Tu as rendu mon départ difficile. Je noooote que les matins sans pain gadoua ne sont pas les mêmes! J’espère qu’à nouveau nous aurons la chance de travailler ensemble et que ce soit avant que l’on ait besoin d’une marchette. En attendant, je vais souhaiter que tu lises ce message et que tu éprouves autant de bonheur que lorsque j’ai lu le tiens!

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