Ce jour, 18 avril, on est assis ensemble dans la metro pendant une dizaine de minute. C’etait eternellement long mais assez court. Jusqu’à la moment que tu as descendu à Berri-Uqam, j’ai essayé de te regarder sans être capturé. C’était un mission difficile mais il y avait des succès(peut-être tu m’as aidé). La livre que tu lisait, était un des oeuvres de Michel Houellebecq pas sûr laquelle probablement « Les particules élémentaire ». Je t’ai regardé jusqu’à la moment où tu est disparu dans la foule. La seule raison était ta beauté qui m’attire comme un aimant. J’aimerai te revoir.