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Puisque nous ne vivrons jamais tous les deux…

J’ai t’ai longue porté dans mon coeur, ce fût long et triste de te révéler ma tendresse… La pluie d’été marchait à travers le feuillage, j’ai ressenti son léger tapage pointu, dansante, comme mon coeur revêtu et débordé, sur son balcon étroit, tomber par groupe deux et trois de ces belles larmes timides, dissipant ce bisou par quoi je m’endors… Cher Être, mais je le croyais, par amour, ma raison disait : non, mon cœur disait : peut-être ! Ce climat soudain sans tendresse…Ah! J’avais bien raison de craindre le mol printemps et sa douceur ! Le beau soir tiède et sa tiédeur, dans le silence mouvementé, ce proche d’été, il ne peut pénétrer dans cette ample forêt, où rien n’est promis ni fidèle ! Ces instants de vie éphémère… Certes mon cœur ne veut te faire aucun reproche, j’éprouve de ce triste combat, la nécessiter d’une trêve ! N’aie pas froid, c’est moi qui pars, je me résigne, comme un signe, je mets ma tête sous mon aile…

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