Dix raisons pour se consoler de l'échange de Jaroslav Halak

Maintenant que le vrai Sauveur est parti, il ne reste plus qu’à prier pour un miracle et la résurrection de Jesus Price.

Mais il paraît qu’on peut trouver du positif à n’importe quelle situation quand on le veut bien! Voici donc mon top 10 des raisons pour se consoler du départ du numéro 41…

10. Les fans de hockey qui détestent le soccer n’auraient pu demander un meilleur timing pour l’échange.

9. Avec Price comme numéro un désigné pour les prochaines années, la survie du site de potins 25Stanley.com est assurée.

8. Comme le Canadien n’a pas obtenu de Québécois dans l’échange, Lapierre, Bergeron et Darche resteront les têtes d’affiche pour les commentaires d’après-match, épaulés de Moore et Pouliot. Le changement, ça rend confus.

7. Avec Eller et Schultz dans l’alignement, ça fera deux joueurs de plus qui pourront se reposer aux prochains Jeux olympiques, plutôt que de s’épuiser à briller pour leur pays. (Dans le cas du Danois Eller, c’est pas mal certain en tout cas!)

6. La boutique du Centre Bell pourra diversifier sa vente de chandails, maintenant qu’un des chandails les plus populaires des dernières séries sera retiré.

5. Les fans et les médias pourront enfin arrêter de se questionner sur le gardien qui sera devant le filet… Non?

4. Étant donné la qualité des premiers choix du Canadien, c’est probablement une bonne chose d’être allé chercher un joueur de première ronde dont la sélection a été faite par une autre équipe.

3. Lars Eller a compté 2 buts en 7 matchs dans la LNH. Combien de buts Halak a-t-il comptés, lui, dans sa carrière?

2. Halak ayant été échangé dans l’Ouest aux Blues, il ne pourra pas revenir trop souvent hanter son ancienne équipe au Centre Bell.

1. En fait, Halak pourrait revenir hanter son ancienne équipe en finale de la Coupe Stanley, mais ça, je ne sais pas pourquoi, ça ne m’inquiète pas trop.

Bonus : Matt d’Agostini aura un ami chez les Blues. S’il fait le grand club, bien sûr.

(J’en profite pour vous inviter à lire la chronique De Halak et de vuvuzelas, de nos collaborateurs du Sportnographe!)