Ton mollet est impec
L’an dernier, à pareille date (approximative), je faisais appel à la tendresse. La vôtre. Celle qui se cache en votre cortex et qu’on déploie la plupart du temps pour d’autres
L’an dernier, à pareille date (approximative), je faisais appel à la tendresse. La vôtre. Celle qui se cache en votre cortex et qu’on déploie la plupart du temps pour d’autres
Mes hommages. J’ignore comment les astres, le vent et la fumée qui s’échappe d’une petite liasse de sauge arrivent à s’aligner pour faire en sorte que les portes du wagon de
Mes hommages. Au moment de lire ces lignes, vous aurez sans doute eu le loisir de vous imprégner, grâce au souffle d’une infinie variété de courageuses et d’indignés, de la
Mes hommages. Vous êtes-vous régalés devant la spectaculaire vue d’horreur Ça? Vous savez, ce film halloweenesque champêtre mettant en vedette Gripsou (Pennywise, de son prénom original, un prénom qui, à
Mes hommages. Il y a quelques jours, après m’être abandonnée à une chronique à la radio, je me suis payé la traite avec un petit œuf sunny-side-up et une crêpe
Mes hommages. Il est passé vite, ce freluquet d’été, hum? HUM. C’est sans doute pourquoi je vous lis l’amertume et la titillette, de ce temps-là. Si si, la titillette: cet
Mes hommages. C’est lovée dans un fauteuil de velours de bus voyageur fendant le vent vers le Bas-du-Fleuve que je vous écris ces quelques lignes. Oh, vous m’imaginez certes coiffée
Mes hommages. Vous arrive-t-il d’avoir le caquet au troisième sous-sol quand vous faites vos emplettes? Assurément. Le caquet qui se jette par la fenêtre ne choisit pas toujours le confort
Mes hommages. Comme chaque année, cette première semaine de juillet est promesse de toutes les libertés. Julie est aux Îles. Les p’tits chantonnent Je m’en vais chasser le lion en
Mes hommages. En cette fin d’année scolaire, l’heure est à la nostalgie, à la réminiscence de ces photos de 1997 où on porte un regard tendre sur cette robe de