Pour l’amour du cheval
Mes hommages. Après huit ans – HUIT ANS – de pluie non stop, cette chaleur et cette lumière qui nous inondent le crâne sont, à mon cœur, ce que le
Mes hommages. Après huit ans – HUIT ANS – de pluie non stop, cette chaleur et cette lumière qui nous inondent le crâne sont, à mon cœur, ce que le
Mes hommages. Ben oui. Un second texte consécutif sur Marilou. On n’avait pas fait le tour, la dernière fois? On n’avait pas fait le tour. En début de semaine, le
Mes hommages. Oh oui, il est ENCORE question de cette robe. Est-elle bleu foncé? Est-elle blanc et or? Non. Elle est beige et c’est ben dérangeant. Elle a même un
Mes hommages. Il est de ces matins où, première gorgée de café au casseau, j’oublie. J’oublie que ce beau temps, ces timides pousses de tulipes et ce beau monsieur qui
Mes hommages. En début de semaine, je m’enflammais la glotte sur le programme d’un congrès organisé pour le personnel administratif de soutien scolaire dont une des deux (seules) conférences mettait
Mes hommages. C’est la faute à qui, hein? Quand on rentre chez soi et que le caniche familial a les pattes écarlates et la tête couverte de bouts de rouge
Mes hommages. J’ai envie, cette semaine, de vous parler d’amour. De respect pis de respiration, aussi. Parce qu’on l’oublie parfois, cette formidable expérience qu’est celle de prendre un temps, un
Mes hommages. J’ai passé les deux derniers jours sur le divan, sous la couverture, à cuver fièvre et nausées. Et entre deux festives lampées de Pedialyte, j’ai eu tout le
Mes hommages. J’habite Montréal depuis bientôt 14 ans. Et en 14 ans, jamais je n’y ai conduit de voiture. Bon; le fait que je ne sois pas l’heureuse détentrice d’un
Mes hommages. En cette journée toute spéciale où un tâteur de fourches au hâle Tropicana s’affaire à installer ses grands rideaux gold à la Maison-Blanche, j’ai eu envie de vous