Altitude Montréal: Le grand luxe comme à l'hôtel
À l’été 2012 se dressera tout près de la Place Ville-Marie un tout nouvel édifice de 33 étages abritant le projet de condominiums Altitude Montréal. Réalisé par le Groupe Daca, ce projet d’envergure comptera environ 150 unités de 550 pi2 à 2 980 pi2, réparties sur 7 étages de basilaires, 18 étages de suites et 4 étages de penthouses.
Outre son côté très luxueux et son design unique, le projet Altitude Montréal se distinguera aussi par les nombreux services qu’il offrira à ses clients. «On a fait un projet de condominiums qui offrent tous les services d’un hôtel, mais sans les inconvénients, explique Bertrand LebÅ“uf, président du Groupe Daca.
La grande mode ces dernières années consistait à faire des projets à bannière. Dans les étages du bas, les promoteurs installent un hôtel, et dans les étages du haut, ils vendent des condos. Un des principaux inconvénients de ce type de projets, c’est que les gens demeurant dans l’édifice sont obligés de subir le trafic des clients de l’hôtel et de partager les services avec eux.»
Les habitants des condos Altitude Montréal pourront pour leur part profiter à eux seuls des services d’un concierge, de la piscine, du spa, du sauna, du centre sportif haut de gamme, de la salle de billard, du golf virtuel, de la salle de cinéma commune et du lounge. Des services à la carte seront aussi offerts, dont l’entretien ménager, la location de voiture, le nettoyeur et la livraison à la porte des plats servis dans le restaurant qui occupera le bas de l’édifice.
Grand luxe
Tout cela a évidemment un prix, les unités se détaillant à partir de 280 000 $ pour les basilaires jusqu’à plus de 2 M$ pour les penthouses. La clientèle ciblée diffère donc d’un étage à l’autre, et on risque d’y retrouver peu de premiers acheteurs.
«Dans les unités du bas, on va retrouver des gens qui désirent avoir un pied-à-terre à Montréal pour éviter le trafic, croit le promoteur Bertrand Leboeuf. Les étages du haut s’adressent davantage à des gens qui vont vouloir y demeurer à l’année, à des «showbird» ou à des gens de l’international.»
Mais peu importe qui ils sont, les gens qui ont fait le choix de vivre dans l’immeuble Altitude Montréal – plus de 50 % des unités sont déjà vendues – souhaitaient mettre la main sur une des rares unités d’habitation du genre en vente au centre-ville de Montréal. «Il n’y a rien qui se compare à Altitude à Mont?réal, affirme l’instigateur du projet. Il n’y a pas beaucoup de terrains au centre-ville. Acquérir ce terrain-là nous a pris trois ans.»
Pour les intéressés, visitez le site d’Altitude Montréal.