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Est-tu polyamoureuse

Bonjour à toi, mon expresso matinal

Souvent le matin, on se croise au métro Champs-de-Mars, d’après moi on doit tous les deux travailler pour le C.H.U.M. Je suis le grand blond au manteau bleu et toi une belle brunette avec un long manteau noir, ce qui me marque le plus c’est tes beaux yeux couleur café, ironique parce que quand nos regard ce croise tu réveille quelque chose en moi comme une dose de caféine. J’ai déjà une copine que j’aime beaucoup mais depuis que j’ai entendu la chanson ‘Polyamoureuse(superstar)’ je me dis que ça pourrait être notre histoire a nous. Fais moi signe.

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Manteau blanc

Le regard est une chose qui malgré tout ce qui ce passe peut faire circuler un message , oui j’ai bien vu malgré ton manteau tu as un tatouage a avant bras gauche . Un samedi très tôt à attendre que l’autobus du métro en rénovation puisse arriver ,un homme très curieux me regarde toute ses minutes à me fixer d’une façon discrète mais combien ça a fait ma journée . tu es descendu à un arrêt avant moi et tu m’a regardé là au loin sans même bouger j’aurais aimé faire plus ample connaissance mais j’avais une obligation . Je ne prends pu ce trajet il était occasionnel alors seulement par cette rubrique nous pourrons nous communiquer avoir rendez vous cela te dit si oui eh bien tu n’as qu’a laisser un message ici avec un exemple de ce que tu as très bien vu de moi . Au plaisir de voir tes lèvres sans avoir un masque

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Bourrasque des corridors

Sur la rame bordée d’âmes, le métro suit son tracé sans son. Ce wagon, tu en étais souverain. Dès potron-minet, ce trône en triade était audience de ta vénusté. Cerclé d’une peau impavide, ton regard commandait aux yeux auréolés le retour au repos qu’ils n’auraient pas dû quitter. Nous, vulgum pecus, croupissions sous les flaflas de nos manteaux tandis que toi, d’une fine couche de polyester, tes habits venaient coupés nos respires. Les tambours de tes talons trémulaient ton passage : les éclats des gobelets, le froissement des pages orphelines des bulletins, enrobaient les corridors d’envergure. À la sortie, le tourniquet, de vent, se gréait pour abattre ceux encore debout. En cette saison, je ne vois plus que l’ombre de ton vide; le métro, ton royaume, n’est-il plus?

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Toi

Si l’amour est un sacrifice, alors sacrifie le tien, cherche au plus profond de toi une partie que tu as oublié, le pire des mals , est le double face, dans certaines situations, on est silencieux, mais certainement pas aveugle, pas besoin de frapper pour faire mal :
Une trahison fait mal…
Un rejet fait mal…
Les mots fond mal…
Alors explique moi plutôt pourquoi as-tu fait cela ?
La confiance se gagne en gouttes et se perd en litres, alors quel ton sacrifice?

Mon
Métro

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