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L’ombre du Zika plane encore au Brésil, selon Human Rights Watch

RIO DE JANEIRO, BRAZIL - JULY 04: Ipanema beach (L), Arpoador rock (BOTTOM) and Copacabana Beach (TOP C), one of the Olympic venue locations, stand on July 4, 2016 in Rio de Janeiro, Brazil. July 5 marks the one-month mark to the beginning of the Rio 2016 Olympic Games with an economic crisis, political turmoil and Zika virus fears roiling the country. (Photo by Mario Tama/Getty Images) Photo: Getty Images

NEW YORK — Human Rights Watch affirme que les problèmes reliés à l’accès à l’eau et les mauvais systèmes d’assainissement qui ont contribué à la flambée épidémique de Zika persistent au Brésil et laissent le pays vulnérable à la résurgence du virus.

Le Brésil a déclaré la fin de l’urgence de santé publique liée au virus Zika, une maladie transmise par les moustiques, en mai dernier, 18 mois après que le gouvernement avait élevé l’épidémie de Zika au rang d’urgence nationale

Le groupe new-yorkais de défense des droits de la personne a averti, jeudi, que la menace d’une nouvelle épidémie est réelle, affirmant que le Brésil a fait trop peu pour aider les millions de personnes qui n’ont pas d’approvisionnement continu en eau ni d’accès à des services d’assainissement adéquats.

Dans son rapport, le groupe demande également que le gouvernement brésilien dépénalise l’avortement et veille à ce que les enfants souffrant du syndrome de Zika aient accès à long terme à des services leur donnant la meilleure qualité de vie possible.

Le virus du Zika peut entraîner des anomalies congénitales sévères, y compris la microcéphalie, qui provoque des malformations du crâne chez les nouveau-nés.

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