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Ma vie après le sport: l’envers de la médaille

Photo: Télé-Québec

Cet hiver, le sport sera sur tous les écrans en raison des Jeux olympiques de Sotchi. Mais alors qu’on verra les athlètes au sommet de leur gloire, Télé-Québec proposera d’entrer dans les coulisses de l’après-carrière d’anciens athlètes avec Ma vie après le sport.

Il va sans dire que Ma vie après le sport intéressera principalement ceux qui songent à devenir athlètes professionnels (ou les sportifs de salon), mais comme c’est le côté plus humain, moins «superhéros» des athlètes qui est mis en lumière dans la série, ceux que le hockey et les JO ennuient pourront eux aussi être intéressés par l’émission dont Paul Houde assure la narration.

Les deux premiers épisodes, présentés hier aux médias, abordent des aspects peu reluisants des contrecoups d’une carrière d’athlète, soit les effets néfastes sur le corps (avec l’homme fort Hugo Girard, la skieuse Mélanie Turgeon et le footballeur Bruno Heppell) et la dépression. «Je viens de gagner, j’ai 20 ans, je suis l’image de la santé… personne ne s’est rendu compte de ce malaise-là qui m’habitait», y affirme notamment la plongeuse Sylvie Bernier, une des athlètes que l’équipe a rencontrés pour cet épisode. «Je le cachais bien. Et il n’était pas question à ce moment-là que j’aille consulter.» «Les athlètes, on est malades, mais on n’est pas faibles, affirme pour sa part Stéphane Richer. Les gens ne peuvent pas comprendre. Il ne faut pas que tu te plaignes. C’est macho, mais c’est comme ça.»

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Des sujets plus «positifs», comme Quand les études facilitent l’après-carrière ou Quand les athlètes féminines brisent les barrières des genres, seront aussi traités au fil des 12 épisodes qui composeront la saison.

Ma vie après le sport
À Télé-Québec
Les mardis à 19 h 30 dès le 7 janvier

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