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«La grosse noirceur»: un peu de lumière dans l’apocalypse 

Olivier Morin, Myriam Fournier et Guillaume Tremblay dans «La Grosse Noirceur» Photo: Josée Lecompte/Gracieuseté

La troupe du Théâtre du Futur revient en force avec La grosse noirceur, une production complètement déjantée sur la fin du monde qui n’est pas sans rappeler une réalité prochaine.

Ce nouveau spectacle met en scène Myriam Fournier ainsi que les trois codirecteurs artistiques du Théâtre du Futur, Olivier Morin, Guillaume Tremblay et Navet Confit. Il est librement inspiré de la prémisse de La colère des doux, une œuvre interactive hybride réalisée spécialement pour le web durant les heures les plus sombres de la pandémie.

Contrairement à ce qu’évoque son titre, La grosse noirceur est une lumineuse légende futuriste qui se veut un reflet de notre société. Alliant les codes de l’opéra rock, des récits de la route ainsi que ceux du théâtre absurde et interactif, la pièce est là pour faire du bien après deux difficiles années à vivre en petites bulles.

La grosse noirceur, jusqu’au 30 avril au Théâtre Aux Écuries

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