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La ministre Rouleau rend hommage à Jim Orrell à l’Assemblée nationale

Chantal Rouleau, député de Pointe-aux-Trembles et ministre au sein du cabinet Legault, a rendu hommage à Jim Orrell, dont les chroniques sont publiées dans l’Avenir de l’Est depuis 55 ans.

Dans une déclaration faite au Salon bleu de l’Assemblée nationale, Chantal Rouleau, député de Pointe-aux-Trembles et ministre au sein du cabinet Legault, a rendu hommage à Jim Orrell, dont les chroniques sont publiées dans l’Avenir de l’Est depuis 55 ans.

Elle a ainsi remercié cet « être exceptionnel » et « dévoué », qui a réussi à devenir « une institution dans l’est de Montréal ». Sa chronique est « attendue impatiemment chaque semaine » par ses lecteurs « devenus des fans au fil des années », a rappelé celle qui fut aussi mairesse de Pointe-aux-Trembles.

L’hommage a ému M. Orrell, qui a débuté la mouture actuelle de sa chronique, La Jungle à Jim, en 1988. « Je ne m’y attendais pas, c’est très spécial ! Je suis très reconnaissant », confie-t-il quelques heures après avoir visionné l’intervention Mme Rouleau.

Jim Orrell a signé son premier texte dans les pages de l’Avenir de l’Est en 1965, en relève à Wendell Young, qui travaillait au journal depuis sa première édition. À l’époque, sa rubrique Local News était rédigée et publiée en anglais, sa langue maternelle. Mais au fil des ans, c’est le français qui est devenu la langue de choix pour ses écrits.

En un peu plus d’un demi-siècle, Jim Orrell a rédigé plus ou moins 3 000 chroniques qui ont mis de l’avant un nombre incalculable de citoyens et d’organismes du secteur.

« La communauté, c’est ça que j’adore, lorsque j’ai des semaines où je n’ai pas d’implication, je trouve ça plate », explique-t-il. Il voit sa chronique comme une manière « d’encourager et d’aider les autres ».

Plus qu’un chroniqueur, Jim Orrell est un acteur incontournable de l’action communautaire. Il est entre autres engagé auprès de la Table des aînés, de la Corporation Mainbourg et du Chantier de santé globale.

Jim a débarqué au Québec depuis l’Angleterre à l’âge de quatre ans, avec ses parents. C’est à l’âge de 23 ans qu’il met son premier pied dans les colonnes de L’Avenir de l’Est. Et depuis, il « fait son possible pour donner le meilleur de [lui] même » à la communauté, car selon lui, « il faut faire le plus de ce que l’on peut avant de quitter la planète ».

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