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Élections fédérales : les infrastructures et le logement comme priorités pour Louis Ialenti

Louis Ialenti a débuté son implication au Parti Conservateur du Canada au début de l’année 2020. Photo: /Gracieuseté/Parti Conservateur du Canada

Le candidat du Parti conservateur du Canada (PCC) Louis Ialenti est né et a grandi dans l’est de Montréal, notamment à Saint-Léonard, Saint-Michel, Montréal-Nord et Rivière-des-Prairies.

À 17 ans, il entreprend un baccalauréat en administration des affaires à l’Université Bishop dans la ville de Sherbrooke.

Son implication en politique commence lorsqu’il est élu président de l’Union étudiante de l’Université Bishop.

Il travaille par la suite à Ottawa pour la Canadian Alliance of Students Association (CASA) pour défendre le droit des étudiants universitaires au Québec et au Canada.

Le jeune homme déménage par la suite en Australie où il poursuit son parcours universitaire dans le domaine du droit.

« Je voulais me former avant de me lancer en politique. Ça m’a beaucoup aidé, même si ma formation en droit s’est faite en Australie, pour comprendre le fonctionnement de l’administration et des moteurs constitutionnels », affirme M. Ialenti.

Après avoir monté son cabinet d’avocat à Brisbane et enseigné pendant neuf semestres à l’université, Louis Ialenti revient alors régulièrement au Québec et développe une entreprise dans le textile sur mesure.

Un virage décisif

Si le candidat a longtemps été libéral, il explique avoir été déçu par la politique menée par Justin Trudeau et son parti depuis 2015, ce qui l’a poussé à se tourner vers le PCC.

« Depuis 2 ans, le parti conservateur recrute beaucoup de personnes d’horizons et de parcours différents. Ça me plaît beaucoup, car je suis très centriste. En tant que Québécois et Montréalais, et représentant pour la communauté, le PCC nous donne l’opportunité de mettre en avant nos propres idées pour les citoyens de notre circonscription. », explique-t-il.

Les principales priorités affichées par Louis Ialenti sont le développement des infrastructures, et la baisse du prix du logement.

« Encore plus depuis le début de la pandémie, c’est devenu très difficile pour les gens qui travaillent fort de rentrer sur le marché de l’immobilier en tant que propriétaire. Je souhaite remédier à cela. »

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