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Québec solidaire : Les Néo-Québécois-e-s, des voix à inclure

Montréal, le 14 août 2012 – « Monsieur Badiona Bazin, dans une entrevue à Radio-Canada, stigmatise les Néo-Québécois-e-s pour l’échec du référendum de 1995 », déclare Andrés Fontecilla, son adversaire, candidat de Québec solidaire dans Laurier-Dorion. Depuis 1995, le Parti Québécois peine à renouveler le projet et à susciter l’enthousiasme des nouvelles générations autant que des personnes issues de l’immigration.

La question est plutôt de se demander comment construire un projet de société qui ira chercher l’adhésion d’une majorité de Québécois et Québécoises. Le projet d’assemblée constituante que s’engage à enclencher Québec solidaire dès son premier mandat est justement une réponse citoyenne et inclusive.

Le PQ s’enlise depuis trop longtemps dans un débat sur le « moment jugé opportun ». Québec solidaire propose au contraire un projet qui permettra d’élire de manière paritaire, inclusive et démocratique des représentant-e-s de tous les groupes, notamment des personnes provenant des différentes communautés ethno-culturelles, afin de bâtir ensemble un pays à l’avenir solidement enraciné dans la richesse et la diversité du Québec.

À Québec solidaire, la nostalgie et la prise en otage stratégique des votes de certaines catégories de la population par les grands partis n’ont pas leur place. « Pour nous, rappelle Andrés Fontecilla, le projet de souveraineté n’est pas le projet d’un parti, mais de la population. Cela ne doit pas être abstrait, mais un projet global de transformation sociale, qui se doit d’inclure les personnes issues de l’immigration. »

(Source : Québec solidaire)

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