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Disparition de Karine Major: un poste de commandement à Cacouna lundi

Photo: Facebook

Le Service des enquêtes sur les crimes majeurs de la Sûreté du Québec (SQ) établira un poste de commandement mobile à Cacouna, lundi matin. Celui-ci permettra aux policiers de recueillir des informations auprès du public afin de faire avancer l’enquête sur la disparition de Karine Major.

La SQ invite les gens qui auraient été témoins de quelque chose ou qui auraient de l’information en lien avec cette affaire de se présenter au poste de commandement dans le stationnement de l’église de Cacouna, lundi, de 9h à 16h.

Des agents de la SQ et des experts en recherche terrestre se trouvent actuellement dans les environs de Cacouna pour tenter de retrouver Mme Major, disparue depuis mardi. «Nous avons des informations qui nous laissent croire qu’elle se trouve dans la région de Cacouna depuis deux jours», précise la porte-parole de la SQ, Audrey-Anne Bilodeau.

Le signal du cellulaire de la disparue a été capté à Cacouna. «Son cellulaire n’a pas ré-émis de signal depuis», a indiqué sa sœur Annie Major sur la page Facebook Trouvons Karine Major.

Karine Major a été vue pour la dernière fois à son domicile de la rue Saint-Joseph Ouest, à Rimouski, le 9 mai. Cette journée-là, elle ne s’est pas présentée à son travail, à Amqui. La jeune femme de 26 ans se déplacerait à bord d’une voiture de marque Nissan Micra de couleur rouge, de l’année 2015 et immatriculée K23 GZY.
Ses proches ont des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité. Karine Major mesure 1,73 m (5 pi 8 po), pèse 79 kg (175 lb) a les cheveux bruns et les yeux châtains. La dernière fois qu’elle a été vue, elle portait des jeans bleus, un chandail turquoise et une veste de style «kangourou» de couleur gris pâle.
«L’enquête se poursuit. Toutes les informations qui nous sont soumises sont vérifiées. On sait qu’elle s’est présentée dans une institution financière de Rimouski où elle a été captée par la caméra de surveillance. C’est inquiétant parce qu’on parle d’une jeune professionnelle qui ne donne pas de nouvelles ni à sa famille, ni à son employeur», avait précise vendredi le sergent Claude Doiron.
Toute information pouvant permettre de retracer cet individu peut être communiquée à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.

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