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Voici des citations du jour 39 des élections

Rédaction - La Presse Canadienne

MONTRÉAL — Voici quelques citations du 39e jour de la campagne électorale fédérale 2015:

«Il existe diverses façons d’améliorer le régime d’assurance-emploi, d’améliorer les prestations aux gens qui ne travaillent pas. Selon nous, le rôle fondamental d’un gouvernement n’est pas de déterminer comment verser de l’argent aux chômeurs, mais plutôt comment s’assurer que ces gens travaillent. Voilà toute la différence.»

— Le chef conservateur Stephen Harper, réagissant à un engagement du Parti libéral qui veut assouplir les règles pour l’admissibilité à l’assurance-emploi.

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«Les francophones qui vivent à travers le Canada font bien de demander à M. Mulcair comment il prétend pouvoir défendre les intérêts des francophones dans ce pays quand il encourage en même temps les séparatistes québécois.»

— Le chef libéral Justin Trudeau, qui estime que la décision du Nouveau Parti démocratique de fixer à 50 pour cent plus un la barre pour un résultat référendaire au Québec nuit à l’unité nationale.

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«Eh bien, je crois que c’est une question tout à fait raisonnable, car je crois que c’est un classique, n’est-ce pas?»

— Le chef néo-démocrate Thomas Mulcair, faisant référence à la vieille ruse politique qui consiste à blâmer le précédent gouvernement pour des finances publiques en moins bon état que ce à quoi l’on s’attendait.

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«Un parlement minoritaire peut signifier, pour les Canadiens, quatre années de travail respectueux, constructif et ouvert aux débats, ou bien une ou deux années de chicanes partisanes perpétuelles. La différence entre ces deux scénarios, c’est le nombre d’élus verts qui pourraient travailler au-delà des lignes de parti afin de donner aux Canadiens le gouvernement qu’ils souhaitent avoir.»

— La chef du Parti vert, Elizabeth May.

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«Je pense que les élections sont une façon plus efficace que le marteau-piqueur de dire à Postes Canada: ‘Ça suffit les folies là, assoyons-nous, discutons sérieusement de cette question’.»

— Le chef bloquiste Gilles Duceppe, qui n’ira pas jusqu’à sortir le marteau-piqueur comme l’a fait le maire de Montréal, Denis Coderre, pour convaincre Postes Canada de maintenir la livraison du courrier à domicile.

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