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Orlando Bloom, fan du cinéma français, aimerait tourner avec Jacques Audiard

Orlando Bloom arrives for the 2013 Vanity Fair Oscar Party on February 24, 2013 in Hollywood, California. AFP PHOTO/ADRIAN SANCHEZ-GONZALEZ Photo: Adrian Sanchez-Gonzalez / AFP

L’acteur britannique Orlando Bloom, figure emblématique de blockbusters et « grand admirateur » du cinéma français, a affirmé dimanche qu’il aimerait tourner avec le réalisateur Jacques Audiard, lors d’une conférence de presse au festival du cinéma américain de Deauville, en France.

« Je suis un grand admirateur du cinéma français, des réalisateurs français, des acteurs », a souligné Orlando Bloom, 38 ans, qui devait recevoir dans la soirée à Deauville un hommage pour sa carrière.

« J’ai entendu que Jacques Audiard allait tourner son prochain film en anglais », a-t-il poursuivi, en lui lançant un appel, même pour un « petit rôle ».

Après « Dheepan », Palme d’Or à Cannes, Jacques Audiard a annoncé en août son intention de tourner un western se déroulant à l’époque de la ruée vers l’or. L’acteur américain John C. Reilly (« Gangs of New York », « Chicago », « Aviator », « Carnage ») devrait y tenir l’un des rôles principaux.

Orlando Bloom, formé au théâtre et qu’on a pu voir dans des films comme « La chute du faucon noir » (2001), « Troie » (2004), « Kingdom of Heaven » (2005) ou « Les trois mousquetaires » (2011), est surtout connu pour son incarnation de l’elfe Legolas dans les trilogies du « Seigneur des anneaux » et du « Hobbit ». Il a participé à la très lucrative saga « Pirates des Caraïbes », aux côtés de Johnny Depp.

L’acteur britannique, qui s’est dit « très intéressé par le cinéma indépendant », a également incarné un détective en proie à l’alcool et à la violence dans « Zulu » (2013), un film du réalisateur français Jérôme Salle. « Travailler sur ce film avec Jérôme a vraiment été l’une de mes expériences préférées », a souligné Orlando Bloom.

Une cabine de plage à son nom devait être inaugurée dimanche sur le sable de Deauville. « Je vais me trouver un sac de couchage et y rester » pour les prochaines nuits, a-t-il plaisanté.

« Quand j’étais petit, on avait une cabine de plage dans le Kent, où j’ai grandi, c’est super de savoir que maintenant j’en ai une aussi à Deauville ».

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