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Industrie de l'assurance: Un diplôme en demande

Que ce soit l’a­gent en assurance de dommages, le courtier en assurance dommages, l’expert en sinistre ou le souscripteur, fini le temps où on pouvait Å“uvrer dans le domaine de l’assurance sans formation. Devant la complexité des produits offerts et les spécificités demandées par les clients, le professionnel de l’assurance doit être capable de dénicher le produit qui s’adaptera le mieux aux demandes de ses clients.

«La formation est une priorité pour l’industrie», explique Robert Lagarde, président de la coalition pour la promotion des professions en assurance de dommages. Bien sûr, les entreprises forment encore leurs professionnels et l’Autorité des marchés financiers impose de la formation continue à tous les professionnels inscrits, mais il reste que le diplôme collégial s’impose comme la formation obligatoire.

D’ailleurs, la hausse du nombre d’institutions collégiales qui offrent le DEC ou l’AEC en assurance depuis 2002 est, selon Robert Lagarde, la preuve de cette nouvelle tendance. «Il y avait 11 cegeps en 2002 qui offraient l’AEC en assurance de dommages. On en compte maintenant 26 sans oublier les 6 collèges qui offrent le DEC en conseil en assurance et services financiers».

Toutefois, cette voie d’accès au monde de l’assurance n’est pas la seule, même si elle est la plus populaire. «L’an dernier, des 1 800 candidats inscrits à l’examen de l’Autorité des marchés, près de 1 000 détenaient un DEC ou une AEC. Les autres venaient des autres formations collégiales ou universitaires», conclut le président.

Pour plus de renseignements : www.prosdelassurance.ca

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