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Une rentrée plus économique, c’est possible?

Photo: Métro

Les vêtements, les fournitures scolaires, les frais afférents… La rentrée engendre inévitablement des dépenses importantes. Mais avec un peu d’effort et de planification, on peut réaliser de bonnes économies.

Fin juin: on trie et on nettoie
«Dès la fin des classes, on fait le tri du matériel des enfants, recommande Olga Cherezova, conseillère budgétaire à l’ACEF de l’Est de Montréal. On repère les articles qui sont encore bons (stylos, règles, feuilles mobiles, cahiers à moitié vierges), on leur donne un coup de chiffon et on range le tout dans une boîte. Si on attend à la veille de la rentrée pour faire le ménage, il y a de fortes chances que le temps nous manque et qu’on décide d’acheter du neuf.» Idem pour le vieux sac d’école, la boîte à lunch un peu abîmée et les cartables défraîchis qu’on devra remplacer l’an prochain: on les nettoie et on les met de côté. Ils pourront servir pour commencer l’année. «À la mi ou à la fin septembre, ces articles font l’objet de soldes importants, particulièrement dans les magasins à grande surface, qui doivent liquider leur inventaire», note Olga Cherezova. On attend donc quelques semaines pour faire nos achats.

On résiste à Spiderman!
Fiston veut ABSOLUMENT ces coûteux cartables à l’effigie d’un superhéros (qui, évidemment, sera complètement dépassé l’an prochain)? «On coupe la poire en deux: on lui propose des articles scolaires neutres qu’il pourra décorer à sa guise avec des autocollants de ses personnages préférés», propose Olga Cherezova.

On s’informe sur les groupes d’achat
Certains parents mettent en place des groupes d’achat afin de bénéficier de prix réduits. Parfois, l’école offre également un service de coop. On se renseigne auprès de l’établissement scolaire et du comité de parents d’élèves.

On magasine!
Dès qu’on reçoit la liste des fournitures à acheter, on commence à éplucher les circulaires et les sites internet de divers détaillants. «Ça nous permet de nous familiariser avec les prix et de savoir ce qu’est réellement une aubaine, car certains soldes n’en sont pas vraiment», prévient Olga Cherezova.

On pense «deuxième vie»
L’achat de livres et d’articles scolaires usagés fait l’affaire de tous: l’acheteur réalise des économies et le vendeur récupère une partie de sa mise. On vérifie auprès de la famille et des amis qui ont des enfants plus âgés que les nôtres s’ils peuvent nous refiler leurs bouquins.

On budgette (et on achète) à l’année
Pour amoindrir la facture de septembre, on épargne chaque mois une petite somme destinée à la vie scolaire. De plus, on surveille les soldes durant toute l’année afin de constituer une réserve d’articles essentiels (crayons, stylos, feuilles mobiles, cahiers, etc.).

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