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Il avait été arrêté pour possession de 19 bombes à Cartierville : Barros retourne à la maison

Jordi Antunes Barros retourne vivre chez ses parents. Le juge Robert Marchi de la Cour du Québec a considéré que l’inculpé pouvait être remis en liberté. Toutefois, il devra être strictement encadré par sa famille et suivi par une psychologue. Il n’a pas non plus droit d’accéder à Internet ou à un téléphone intelligent.

Le jeune homme, résident de Cartierville, a été arrêté en mai dernier après la découverte de 19 bombes artisanales, de matériel explosif et de munitions dans le garage de la maison familiale.

Après son évaluation psychiatrique à l’institut Pinel, les médecins ont conclu qu’il était apte à subir son procès et comprendre les procédures intentés contre lui.

Jordi Antunes Barros fait face à plusieurs chefs d’accusation, dont possession d’explosifs dans un but dangereux et possession d’armes dans un dessein dangereux.

Le 17 mai, après un appel d’un membre de la famille au 911, le Groupe d’intervention tactique (GIT) du Service de police de la ville de Montréal (SPVM) avait été déployé dans une résidence de la rue Robertine-Barry à Cartierville.

Le robot du GIT avait été utilisé pour fouiller la résidence et retirer divers objets dont 19 bombes à tuyaux, un sac de nitrate de potassium, un sac de soufre, cinq armes anciennes, du Kérosène, deux couteaux style Rambo et du matériel pour fabriquer des munitions entre autres.

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