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Green espère que Pettersson reviendra vite

Vancouver Canucks' Elias Pettersson, of Sweden, skates with the puck during the third period of an NHL hockey game against the Chicago Blackhawks in Vancouver, on Wednesday October 31, 2018. THE CANADIAN PRESS/Darryl Dyck Photo: La Presse canadienne
Joshua Clipperton, La Presse canadienne - La Presse Canadienne

TORONTO — L’entraîneur-chef des Canucks de Vancouver Travis Green a déclaré qu’il était confiant que son meilleur marqueur, Elias Pettersson, ne sera par à l’écart du jeu pour une longue période de temps.

Le Suédois s’est blessé au genou droit en deuxième période du match de jeudi contre le Canadien de Montréal, après avoir chuté en compagnie de la recrue finlandaise Jesperi Kotkaniemi.

Pettersson devait initialement se soumettre à un test d’imagerie par résonance magnétique vendredi, mais Green a révélé que l’équipe en saura davantage après l’examen prévu samedi.

Green a ajouté qu’il ignorait pourquoi le test d’imagerie par résonance magnétique n’avait pas été effectué vendredi.

Pettersson, qui est âgé de 20 ans, est demeuré avec les Canucks après sa blessure plutôt que de rentrer à Vancouver pour y subir une batterie de tests supplémentaires.

«Je crois qu’il pourra bientôt être de retour au jeu, a confié Green avant le duel de son équipe contre les Maple Leafs de Toronto samedi soir. Le plus tôt il reviendra, le mieux ce sera.

«Il a l’air bien. Il se déplace déjà assez bien.»

Pettersson domine la colonne des marqueurs parmi les recrues de la LNH avec 42 points (22 buts, 20 passes) — 17 de plus que le joueur de centre des Sénateurs d’Ottawa Colin White.

Pettersson, la recrue des mois d’octobre et décembre dans la LNH, a été nommé pour représenter les Canucks au match des étoiles plus tôt cette semaine.

«Il est très intelligent, ce qui lui permet d’être statique et de se créer de l’espace en même temps, a expliqué l’entraîneur-chef des Maple Leafs Mike Babcock vendredi. Nous pouvons dire beaucoup de choses de lui — il n’a pas l’air si coriace que ça. La rondelle colle à sa lame de bâton.

«Tout le monde recule, ce qui lui donne de l’espace, et il possède un bon tir ainsi qu’une bonne vision de jeu. Selon moi, c’est un vrai joueur de hockey», a renchéri Babcock.

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