Troisième acte: z’ont l’air partis pour!
Vu de même…
Entendu à la brasserie du coin:
1re période: «Eille, sont donc ben chiens les z’Ottawa! C’est pas supposé être plate c’te ville là…?»
2e période : «Faut pas que les Canadiens pognent les nerfs! Une chance que Price est là. Lui, des nerfs, au moins, y’en a pas…»
3e période : « On n’est pas morts, mets-en! Tant qu’on est vivants…»
Fin de la 1re prolongation: «La profondeur, y’a rien de plus vrai! Prends Weise. Tu peux pas trouver plus profond que Weise…»
L’indice du bonheur
Une victoire comme celle-là fait grimper l’indice du bonheur et de l’optimisme à 9,5/10. Ottawa n’a a-u-c-u-n-e chance de s’en sortir.
Pour la suite du monde…
Les boys ont le cœur gros comme le mont Royal, et Therrien commence à ressembler à Demers avec ses p’tits gars. Ça fait qu’on se retrouve ensemble à la taverne du coin mercredi soir. J’pense que ça va sonner du klaxon…
Le hockey, on en mange…
Trouvé chez Jean-Coutu: des napperons avec les photos de nos préférés. Donc, dès aujourd’hui, je déjeune avec Gallagher, je dîne avec Subban et je soupe avec Price. Pis, qu’y’en ait un pour venir me reprocher d’être trop enveloppé!