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Questions en rafale avec l’auteure Lori Saint-Martin

Photo: collaboration spéciale

Lori Saint-Martin est traductrice et enseigne la littérature à l’UQAM. Elle a publié des recueils de nouvelles. Les portes closes est son premier roman. Il expose les mystères de la vie de couple par l’entremise de Philippe et Catherine, deux peintres dont l’un est riche et célèbre, et l’autre, presque inconnu.

Que lisez-vous présentement?
Des romans argentins et espagnols en version originale. C’est mon ravissement du moment.

Qui sont vos trois auteurs incontournables?
Disons Virginia Woolf, Proust, Alice Munro. Mais il y en a aussi mille autres que j’ai l’impression de trahir en disant ça : Gabrielle Roy, Anne Hébert, Borges…

Qu’est-ce qui vous a amenée à l’écriture?
L’amour des mots et le besoin de nommer autant les idées que les émotions.

Chaque écrivain a des routines d’écriture qui lui sont propres. Quelles sont les vôtres?
J’écris le matin dans un café. J’ai toujours un cahier avec moi pour noter les inspirations du moment.

En tant qu’auteure, quelle est votre plus grande peur?
Comme tout le monde, celle de ne pas être aimée. C’est ce que nous voulons tous, y compris et peut-être surtout les durs à cuire.

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Quelle est votre expression ou citation favorite?
«Vivre indigné.» – Émile Zola

Quel livre auriez-vous aimé écrire?
Kamouraska, d’Anne Hébert.

Quel est votre pire défaut en tant qu’auteure?
Ma tendance à remettre à plus tard le fait d’écrire. Pour le reste, c’est aux lecteurs de le dire.

De quoi êtes-vous le plus fière en tant qu’auteure?
Des courriels que je reçois de lecteurs inconnus disant qu’ils ont aimé mon roman.

Les portes closes Lori Saint-MartinLes portes closes
Boréal

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