Questions en rafale avec l’auteure Ioana Georgescu
Ioana Georgescu est née à Bucarest, en Roumanie, et vit maintenant à Montréal. Cette artiste internationale en arts visuels propose un quatrième roman, La jetée.
Que lisez-vous présentement?
Un livre-grenade, Quand j’étais italienne, de Sylvie Laliberté, et un livre-volcan, Jacques Roche, je t’écris cette lettre, de Rodney Saint-Éloi. J’attends d’entrer dans La danse noire, de Nancy Huston.
Qui sont vos trois auteurs incontournables?
La réponse est une trahison de tous ceux qu’on doit exclure. Vite, vite, je dirai Italo Calvino, Marguerite Duras et Marie-Claire Blais. Dante et Boccaccio, pardonnez-moi!
Qu’est-ce qui vous a amenée à l’écriture?
Un accident de parcours. Le déplacement. Le cinéma et les arts visuels. L’amour des livres. C’est venu naturellement, sans calcul, et j’adore.
Quelle est votre expression ou citation favorite?
«FORZA!»
Quel livre auriez-vous aimé écrire?
Si j’avais ce fantasme, je pourrais dire, par exemple, La divina commedia.
La jetée
Marchand de feuilles