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Une bande-annonce pour «Si on s’aimait encore»

Dans la nouvelle docuréalité de TVA « Si on s’aimait encore », qui succède à « Si on s’aimait », l’experte en accompagnement relationnel Louise Sigouin (à droite) tente d’aider des couples sur le bord du naufrage à rescaper leur relation, tandis qu’Émily Bégin et Guillaume Lemay-Thivierge reviennent comme spectateur.trice.s qui échangent avec la spécialiste. Photo: Groupe TVA

Ces couples se sont aimés, s’aiment, mais battent de l’aile… Peuvent-ils s’aimer encore? Sauver son couple, c’est non seulement possible, mais ça s’apprend, nous dit la nouvelle docuréalité Si on s’aimait encore, développée en parallèle de Si on s’aimait, émission dont les trois premières saisons ont connu un immense succès sur les ondes de TVA. La chaîne a dévoilé la bande-annonce ce matin.

Cette production dérivée, qui s’amorce le 1er mai, ne soumet donc pas à l’épreuve des sentiments des inconnu.e.s qui se découvrent, mais bien cinq couples à un tournant de leur histoire amoureuse qui sont néanmoins déterminés à se donner une autre chance.

Ils tenteront le tout pour le tout afin de résorber les enjeux les minant et de rescaper leur relation grâce à l’aide de Louise Sigouin, de retour dans son fauteuil d’experte en accompagnement relationnel, qui accompagnera et éclairera les 10 participant.e.s tout au long des six semaines.

Émily Bégin et Guillaume Lemay-Thivierge reviennent également comme spectateur.trice.s. Le tandem discutera ensuite avec Louise Sigouin afin de décrypter ce qu’il a observé à l’écran.

Dès le 1er mai, du lundi au jeudi, 19h

Au revoir, l’Ordre professionnel des sexologues du Québec

Louise Sigouin ne porte plus le titre de sexologue. C’est qu’elle a quitté l’Ordre professionnel des sexologues du Québec (OPSQ) l’année passée après que le syndic de l’Ordre eut formulé deux plaintes contre elle. En janvier dernier, elle a plaidé coupable à tous les chefs la visant devant le conseil de discipline de l’OPSQ. 

Les faits reprochés à Louise Sigouin concernaient tous Si on s’aimait, notamment le fait « d’avoir omis de sauvegarder son indépendance professionnelle et de s’être placée en conflit d’intérêts » et celui « d’avoir exercé la profession d’une façon qui était susceptible de porter atteinte à l’honneur et à la dignité de celle-ci, qui est également susceptible de briser la confiance du public envers celle-ci ». 

Elle a en outre plaidé coupable de ne pas avoir respecté le « consentement libre et éclairé de ses clients » et ne pas s’être « assurée que leur consentement demeure libre et éclairé tout au long de la relation professionnelle », avait alors rapporté Le Devoir

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