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Malgré la Covid, le guide Michelin dévoilera son palmarès lundi

Une sélection en plein Covid comme si de rien n’était! En dépit de la fermeture des restaurants, le guide Michelin dévoilera lundi son palmarès en France. Celui-ci maintient les macarons de tous les chefs triplement étoilés.

«C’est une décision importante pour soutenir la profession malgré le contexte et peut-être en raison même du contexte. Il était nécessaire de maintenir cette annonce», déclare à l’AFP le directeur du guide Gwendal Poullennec, en réponse aux critiques et interrogations sur la pertinence d’une telle décision.

Une cérémonie de gala prévue à Cognac (sud-ouest de la France) a été annulée et remplacée par une annonce qui sera diffusée sur YouTube lundi depuis la tour Eiffel. Seront alors révélés les noms des 57 établissements ayant gagné leur première étoile ou promus avec un macaron supplémentaire.

Quelques rétrogradations vont concerner les restaurants qui ont fermé ou changé de concept. Mais les chefs trois étoiles, la plus haute distinction dans le monde gastronomique qui doit être revalidée chaque année par les inspecteurs au terme de plusieurs repas anonymes, peuvent souffler.

Car aucun d’entre eux ne connaîtra lundi le sort du restaurant Bocuse rétrogradé d’une étoile en 2020. Ou celui du chef Marc Veyrat, déclassé en 2019, un an seulement après avoir gagné une troisième étoile, et qui avait engagé et perdu son procès contre le célèbre guide rouge.

«Tous les établissements qui ont conservé leur étoile cette année ou qui en ont gagné sont des tables qui le méritent pleinement», souligne Gwendal Poullennec

Qualité de la table et des produits, maîtrise des techniques, harmonie des goûts, personnalité du chef exprimée dans l’assiette et régularité dans le temps et tout au long d’un menu. Les critères d’évaluation «sont les mêmes partout dans le monde et depuis toujours», ajoute-t-il. Ils n’ont pas été modifiés au vu du contexte inédit et rude pour les restaurateurs, dont de nombreux se battent pour leur survie.

Le guide Michelin se démarque

Le plus célèbre des guides agit ainsi différemment des autres. Son principal concurrent britannique, le prestigieux 50 Best, a tout simplement annulé son palmarès, jugeant que l’heure n’était pas à évaluer les restaurateurs.

D’autres ont réajusté les leurs en mettant en valeur les actions solidaires ou innovantes pendant la crise, comme le Gault et Millau ou La Liste, qui n’a pas dévoilé ses 1000 meilleurs restaurants au monde, mais a distingué les chefs qui tiennent tête à la pandémie.

La Liste a d’ailleurs critiqué le Michelin qui récompense les tables fermées depuis plusieurs mois.

«Dans certains pays, on ne peut que s’étonner de l’omniprésence d’inspecteurs de guides gastronomiques qui parviennent à récompenser des tables fermées depuis plusieurs mois (…). Au Brésil par exemple, le guide Michelin a récompensé avec deux étoiles le restaurant Alex Atala, fermé pendant sept mois selon son compte Instagram», lit-on dans l’observatoire de la gastronomie de La Liste.

Les inspecteurs ont mis «des bouchées doubles» et revu leur emploi du temps en annulant leurs vacances en été quand les restaurants ont brièvement rouvert en France entre les deux confinements, se défend Gwendal Poullennec.

«Cette sélection a été faite avec le même sérieux, les inspecteurs ont pu réaliser autant de repas que les années précédentes», dit-il.

Les inspecteurs des pays européens limitrophes et asiatiques sont venus en renfort pendant la période de réouverture des restaurants en France. «Nos inspecteurs pratiquent partout la même méthode, ils ont la capacité de participer aux autres sélections», ajoute-t-il.

«Malgré les difficultés, les chefs ont été au rendez-vous, ils ont assuré un niveau de qualité constant, parfois ils ont même réussi à continuer à progresser», conclut Gwendal Poullennec confiant dans la «combativité» des lauréats.


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OMLT, la tortilla espagnole s’invite à Montréal

Lorsque Luis Leon, alias Chef Tigretón, a révélé à Métro qu’il avait lancé OMLT, une boutique en ligne proposant la traditionnelle tortilla espagnole, nous avons immédiatement été interpelés.

Chef Tigretón est un chef espagnol, établi à Montréal, qui cumule plus de 23 ans d’expérience en restauration. Il consacre aujourd’hui son talent culinaire à un concept qui gagne en popularité en Amérique du Nord: les restaurants monoproduits. Cela consiste à ne cuisiner et vendre qu’une seule spécialité culinaire.

La Croquetería

Cette aventure a d’ailleurs commencé à l’automne 2019, lorsque Chef Tigretón a ouvert La Croquetería sur l’avenue du Parc. Voué aux croquetas espagnoles, le petit comptoir voit défiler maints clients venant y chercher les délicieuses croquettes congelées ou toutes chaudes et croustillantes prêtes à être dégustées dans la rue.

Reconnu pour sa cuisine authentique, le Chef Tigretón propose des croquetas traditionnelles comme celle au jambon serrano. Mais il résulte de sa personnalité colorée et de sa passion d’explorer des territoires inconnus des croquetas aux saveurs originales : à l’encre de seiche, hawaïennes, au crabe épicé, végétariennes, etc. Au total, l’ardoise affiche toujours une vingtaine de croquetas.

OMLT

Face au succès de La Croquetería, le Chef Tigretón a décidé de se lancer dans un nouveau projet monoproduit qui met la tortilla espagnole au menu, un des plats les plus populaires en Espagne qui ne comprend que 4 ingrédients: des pommes de terre, des oignons, des œufs et de l’huile d’olive.

«OMLT, c’est aussi un comptoir pour emporter et c’est toujours monoconceptuel», précise l’entrepreneur. «C’est ce qui fait du sens pour moi, car tu orientes toutes tes forces dans la même direction. Tout ton personnel travaille pour une chose. Tous tes ingrédients sont pour une chose. Tu sers une chose. Quand c’est fini, c’est fini, désolé, c’est sold out

«J’ai décidé que j’allais ouvrir un magasin où l’on fait des omelettes cuites à la minute, en tout temps! » -Chef Tigretón, propriétaire de La Croquetería et de OMLT 

Ce qui caractérise la tortilla du OMLT

Déjà qu’on ne trouve pas des tortilla à tous les coins de rue à Montréal, celle du OMLT a ce petit quelque chose que tous les Montréalais recherchent: elle est cuite à la minute! 

Il en demande au chef, ou à un membre de sa brigade composée de quatre personnes, environ 10 minutes pour préparer une tortilla. Elle peut être commandée – et programmée – en ligne afin qu’elle soit pétillante et brûlante au moment de la ramasser.

La tortilla du Chef Tigretón, c’est 1 kg de bons ingrédients biologiques issus des fermes du Québec. Elle coûte 18$ et peut nourrir une famille de quatre personnes accompagnée de salades et d’un verre de vin.

«On la mange froide le matin et chaude le soir», explique Chef Tigretón. «C’est un souper que notre maman fait avec n’importe quoi. On va faire une omelette avec une salade à côté et une canette de sardines – parce que les canettes espagnoles sont super bonnes – ou un peu de charcuteries, c’est simple!»

Passionné par le microbiote et les produits fermentés, Chef Tigretón propose aussi des boissons maison : un maté et guarana cold brew, un kombucha (au gingembre au moment d’écrire ses lignes) et une limonade fermentée absolument délicieuse, et pas trop sucrée.

Un comptoir, deux produits

Pour l’instant, le chef tâte le pouls des Montréalais avec son concept d’omelette espagnole. Il les cuisine donc dans la cuisine de La Croquetería. Si le public tombe en amour avec ce délicieux plat espagnol, alors Tigretón ouvrira un autre comptoir réservé à OMLT. C’est ce qu’on lui (nous) souhaite! 

Pour commander une tortilla española du Chef Tigretón, rendez-vous sur omlt.ca ou arrêtez-vous à La Croquetería, située au 4520 avenue du Parc.


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Les restaurateurs, on s’ennuie de vous!

À l’heure actuelle, les restaurateurs ont besoin de l’aide de leur clientèle pour faire face à cette crise. D’ailleurs, les habitués des bonnes tables s’ennuient atrocement de «sortir au restaurant». Les commandes à emporter, c’est pratique, c’est bon, c’est solidaire, mais il est impossible de profiter de l’amabilité légendaire de M. Masson du restaurant l’Express, ou de regarder Fabrizio Covone cuisiner sa succulente pizza derrière son four rouge à la Bottega, et encore moins d’espérer que Charles-Antoine Crête passe nous mettre un chapeau de coq sur la tête alors qu’on déguste ses délicieux petits plats au Montréal Plaza

Afin d’apaiser le manque grandissant de saluer son restaurateur et son maître d’hôtel préféré et de piquer une jasette avec la sommelière du nouveau bar à vin, les gastronomes peuvent amener le restaurant à la maison. Voici quelques trucs pour transformer sa petite cuisine en salle à manger digne des plus grandes tables de Montréal.

L’ambiance

Qu’ont en commun l’opulente salle à manger de chez Damas et le décor éclectique du Satay Brothers? Il y a de l’ambiance! Elle n’est certes pas la même, mais toutes deux invitent au plaisir de la bonne chère. Donc, avant d’aller chercher sa commande pour emporter chez son restaurateur favori, on pose une belle nappe sur la table et on sort les serviettes en tissu (c’est le temps d’apprendre le pliage en forme d’avion). On allume des bougies, on fait jouer de la musique et on utilise la vaisselle, la coutellerie et la verrerie qu’on garde habituellement pour les grandes occasions.

Le rythme

Lors d’une sortie au restaurant, on peut facilement y passer trois heures, alors qu’à la maison, l’ingestion du souper se fait souvent en 15 minutes. Pour une soirée «restaurant à la maison», on prend son temps! On commence par se servir un verre tout en grignotant quelques tapas. On écoute de la musique, on discute de tout et de rien, on danse dans le salon, on s’amuse…

Les petites assiettes dans les grandes

De retour à la maison avec sa commande, on ne fait pas les choses à moitié (et on ne mange certainement pas dans les plats en carton). On exécute les services les uns après les autres et on s’applique à déposer les aliments dans les assiettes de façon esthétique. De cette façon, le plaisir de manger sera plus grand et apprécié, en plus d’être une marque de respect envers le chef qui a cuisiné le repas.


Haut de gamme (à petit prix) à emporter

Ces deux restaurateurs de fine cuisine proposent depuis peu de temps des menus gastronomiques à mettre en place à la maison.

Renoir

Situé dans le Sofitel, et ayant à son bord le chef Olivier Perret, le Renoir vient tout juste de se lancer dans les repas à emporter. L’offre est généreuse : il y a une option de plats surgelés ainsi qu’un menu à la carte. Le pâté en croûte Signature du chef Perret et la tartelette au citron meringuée du chef pâtissier Clément Tilly valent assurément de sortir la nappe blanche!

Commande en ligne sur lerenoir.order-online.ai

Maison Boulud

Le chic restaurant du Ritz-Carlton propose «Boulud chez vous». On trouve sur le menu plusieurs classiques de la Maison, dont la terrine de foie gras. Les plats sont divinement présentés, et les instructions pour le service sont imprimées sur un papier luxueux à l’effigie du restaurant. Le tout est très raffiné. De plus, la Maison commence à garnir un comptoir «épicerie» où l’on peut trouver leur délicieux saumon fumé.

Pour passer sa commande: par téléphone au 514 905-0787 ou par courriel à bouludchezvous@ritzmontreal.com tous les jours entre 7h et 15h.
Pour récupérer sa commande: du mercredi au dimanche, entre 16h et 20h, et entre 11h30 et 14h le samedi et le dimanche, pour le menu brunch.

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McDonald’s se lance dans la course aux produits végétariens avec le McPlant

Le géant des fast-foods McDonald’s, surfant sur la mode des alternatives à la viande, prévoit d’afficher bientôt à son menu sa propre ligne de produits végétariens sous le nom de McPlant.

Présentée lundi dans le cadre d’une nouvelle stratégie qui mise aussi sur le poulet et sur les ventes à emporter, cette initiative pourrait permettre au groupe de rattraper son retard sur ce créneau.

Burger King a lancé aux États-Unis une version végétarienne de son emblématique burger « Whopper » dès avril 2019.

D’autres chaînes comme Dunkin’ ou Starbucks ont aussi tenté l’expérience de produits destinés à satisfaire une clientèle plus sensible à la protection de l’environnement ou des animaux, et à la recherche d’une alimentation un peu moins riche.

Des alternatives comme les steaks au soja existent depuis longtemps, mais des start-up comme Beyond Meat et Impossible Burger ont développé ces dernières années des produits se rapprochant bien plus du goût, de la texture et de la couleur de la viande d’animaux.

McDonald’s a déjà testé au Canada un burger avec un steak à base de plantes de Beyond Meat.

Il veut désormais proposer le McPlant, sa propre mixture, fabriquée exclusivement pour McDonald’s, sur certains marchés dès l’année prochaine.

La chaîne de restauration n’a pas précisé si elle renouvellerait son partenariat avec Beyond Meat, indiquant juste qu’elle ferait appel à des fournisseurs tiers comme pour le reste de ses produits.

L’action de Beyond Meat a perdu environ 4% lundi à la Bourse de New York.

La gamme McPlant pourrait par la suite s’étendre à des alternatives au poulet, ou à l’oeuf et au bacon des sandwichs du petit-déjeuner, a ajouté le groupe lors d’une présentation aux investisseurs.

« Nous sommes ravis de cette opportunité, car nous pensons avoir un produit éprouvé, au goût délicieux », a souligné Ian Borden, qui chapeaute les activités de McDonald’s à l’international. « Lorsque les clients sont prêts, nous sommes prêts pour eux », a-t-il ajouté.

Les classiques toujours présents

McDonald’s compte toujours sur ses produits phares comme le « Big Mac », les « McNuggets » et les frites, qui représentent encore environ 70% de son chiffre d’affaires sur ses principaux marchés.

« La demande pour les produits familiers en ces temps incertains étant plus importante que jamais. McDonald’s estime que ces classiques de base continueront d’être des moteurs de croissance importants grâce à leur popularité et à leur rentabilité », a souligné le groupe dans un communiqué.

McDonald’s veut quand même procéder à quelques changements en plus du McPlant, avec par exemple des nouveaux pains pour les burgers et « une approche améliorée » de la cuisson des steaks.

Il veut aussi mettre l’accent sur ses produits à base de poulet, dont la croissance est plus importante que ceux à base de boeuf.

Après le succès d’une offre temporaire sur des nuggets épicés aux États-Unis, McDonald’s prévoit de lancer en 2021 dans le pays un sandwich au poulet croustillant.

Pour doper les ventes sur internet, qui ont déjà beaucoup progressé depuis le début de la pandémie, le groupe va par ailleurs tester une nouvelle plateforme en ligne et un nouveau programme de fidélité.

McDonald’s prévoit aussi de construire des établissements qui ne serviront que des clients au volant et de dédier des lignes à ceux qui auront déjà commandé sur internet.

Le groupe a encore vu son chiffre d’affaires mondial reculer de 2% au troisième trimestre sous l’effet de la pandémie.

C’est toutefois mieux que la chute de 30% des ventes observée au deuxième trimestre et le groupe est parvenu à dégager un bénéfice net en hausse de 10% à 1,76 milliard de dollars.

Presque tous les établissements de la chaîne étaient ouverts sur la période.

« Cependant, en raison du regain du COVID-19 depuis septembre, nous avons observé à de nombreuses reprises des restrictions de la part de gouvernements sur les horaires, le nombre de personnes pouvant manger à l’intérieur dans la plupart des pays et dans certains cas, la fermeture totale de la salle de restauration », a souligné McDonald’s.

« Ces restrictions affectent la plupart des marchés clés de l’entreprise en dehors des États-Unis, dont la France, l’Allemagne, le Canada et le Royaume-Uni », a prévenu la société.


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Une savoureuse cuisine thaïlandaise arrive dans Hochelag!

La pandémie a fait, et fait encore, beaucoup de dommages aux restaurateurs d’ici. Mais de cette épreuve, surgissent un esprit de communauté et une inventivité admirable de la part des artisans du domaine. Comme plusieurs, les trois copropriétaires de la Brasserie Le Blind Pig, située dans Hochelaga-Maisonneuve, se sont relevé les manches et offrent maintenant aux gens du quartier bien plus que de quoi se désaltérer!

À la suite de l’annonce de la (re)fermeture des bars et des restaurants du gouvernement provincial, Antoine Ormandy, Rémi Dumas et Mathieu Menard, copropriétaires de la Brasserie Le Blind Pig, ont décidé de briser les conventions en transformant le bar en comptoir «pour emporter» de cuisine thaïlandaise: Le Blind Tiger est né!

La Brasserie Le Blind Pig devient le Comptoir Le Blind Tiger pour les quatre prochaines semaines, voire plus selon les annonces du gouvernement.

«Je ne pensais pas, ce matin-là, revenir à la maison, suite à notre rencontre matinale avec mes associés, avec un tout nouveau concept de restaurant livraison et pour emporter! La crise nous aura permis de nous dépasser et d’innover avec une toute nouvelle offre,» rapporte Mathieu Ménard, copropriétaire de la Brasserie Le Blind Pig.

Pourquoi une cuisine thaïlandaise?

«Pour nous, c’était la suite logique des choses. Mon ami, le chef Dominic Chagnon, et moi avons passé des semaines, dans les trois dernières années, en Thaïlande à visiter le pays à la recherche des saveurs authentiques, de la streetfood et de la culture thaïe. Nous avons envie de partager notre passion avec notre clientèle,» affirme Rémi Dumas, autre copropriétaire de la Brasserie Le Blind Pig.

Au menu

Riche en saveurs, le menu propose un choix varié de plats typiques issus de la cuisine thaïlandaise. Le Kaeng Khiao Waan Luuk Chin Plaa, un curry vert à l’aubergine thaïlandaise et aux boulettes de poisson, présente un bel équilibre entre les saveurs relevées du piment et la douceur crémeuse du lait de coco. L’aubergine thaïlandaise est un légume à découvrir; de la taille d’une balle de golf, le délicieux végétal a une texture fondante, mais conserve sa forme dans le curry et sa saveur est douce et légèrement sucrée.

Le plat le plus réussi et le plus addictif du nouveau Comptoir Le Blind Tiger est sans contredit les Gai Thaawt. Ces ailes de poulet ont macéré dans une marinade faite de racine de coriandre avant d’être glacées avec une glace à la lime et à l’ail frit. Les ailes sont généreuses en chair, la panure est fine et pas trop grasse et le goût est absolument divin!

Si vous êtes à la recherche d’une combinaison de fraîcheur, de croquant et de piquant, la Som Tam, une salade de papaye verte servie avec une vinaigrette à la lime et au sucre de canne, procure définitivement une explosion de saveurs et de textures en bouche!

La Neua Naam Tok, une salade d’onglet de bœuf médium-saignant mariné dans un mélange de citronnelle et de soya thaï reposant sur des feuilles de laitue Boston ou la Tom kha, une soupe au lait de coco aromatisée à la lime kéfir, servis avec des champignons King Oyster, du piment et du chou sont quelques autres délicieuses spécialités qu’il faut essayer au nouveau comptoir.


L’ouverture officielle du Comptoir Le Blind Tiger a lieu aujourd’hui!
Situé au 3882 rue Ontario Est, Le Blind Tiger est ouvert de 16 h à 22 h, du jeudi au samedi. La livraison est aussi rendue possible sur Doordash.

28 jours d’appui à nos restaurateurs

Depuis le 1er octobre, Métro Média s’est engagé à aider les restaurants d’ici afin de les soutenir durant ces temps difficiles. Pendant 28 jours, une aide à la promotion de leurs plats à emporter et à livrer leur est offerte. Pour inscrire gratuitement votre entreprise, faites parvenir le nom de votre restaurant, son adresse et son site web à metro@metromedia.ca.

Cliquez ici pour consulter la liste des restaurants déjà inscrits qui proposent des délices « pour emporter ».


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Un macchiato au caramel livré à sa porte

À compter d’aujourd’hui, les Québécois peuvent faire livrer la plupart des articles du menu courant de Starbucks® grâce au lancement de Starbucks à votre porte, propulsé par Uber Eats.

Le projet pilote sera offert dans 10 magasins, notamment à Montréal, Laval, Dollard-des-Ormeaux, Mont-Royal et Boucherville.

L’ajout du service de livraison au Québec fait partie d’une expansion à l’échelle nationale qui permettra d’inclure des douzaines de magasins Starbucks additionnels à la plateforme Uber Eats, afin de mieux servir les besoins croissants et changeants de la clientèle aux quatre coins du pays.

Il est possible d’accéder à Starbucks à votre porte par l’application mobile d’Uber Eats, versions iOS et Android.

Capture d'écran de la nouvelle application mobile Starbucks à votre porte

Du mardi 25 août au lundi 31 août 2020, il n’y aura aucuns frais de livraison pour toutes les commandes de 15$ et plus.

Autre nouveauté

Dès aujourd’hui, l’entreprise offre les produits de l’automne dans les magasins Starbucks partout au Canada, notamment le duo emblématique de boissons à la citrouille, soit le latte à la citrouille épicée et le café infusé à froid crème à la citrouille, ainsi que le moka au caramel salé et les pâtisseries saisonnières, à savoir le scone à la citrouille et le muffin citrouille et fromage à la crème.

De plus, les clients peuvent maintenant personnaliser leurs boissons favorites, qu’il s’agisse de boissons courantes ou de boissons offertes seulement pendant l’automne, au moyen du quatrième substitut de produit laitier à figurer sur le menu des magasins Starbucks au Canada, la boisson à l’avoine. Afin de marquer le lancement de la boisson à l’avoine dans tous les magasins au Canada cet automne, Starbucks Canada a créé le café Flat White pomme et avoine. Offert exclusivement au Canada, il est préparé avec de l’espresso signature, de la boisson à l’avoine vapeur et du sirop de pommes, le tout garni de sucre aromatisé au clou de girofle.

Gamme des produits Starbucks offerts à l’automne 2020

Latte à la citrouille épicée

Latté à la citrouille épicée de Starbucks

Espresso signature avec du lait et rehaussé par des arômes de citrouille, de cannelle et de muscade. À savourer avec de la crème fouettée et une garniture aux véritables épices pour tarte à la citrouille.


Café infusé à froid crème à la citrouille

Café infusé à froid à la crème de citrouille de Starbucks

Du café infusé à froid Starbucks® sucré par du sirop à la vanille, nappé de mousse froide de crème à la citrouille et saupoudré d’une garniture à la citrouille épicée.


Flat White pomme et avoine

Flat white pomme et avoine de Starbucks

Offert uniquement au Canada, ce café combine l’espresso signature avec de la boisson à l’avoine à la vapeur et du sirop de pomme, garni de sucre aromatisé au clou de girofle.


Latte à l’avoine

Flat white pomme et avoine de Starbucks

La boisson à l’avoine parfaitement moussée et l’espresso signature sont combinés pour obtenir un latte réconfortant.


Moka au caramel salé

Moka au caramel salé de Starbucks

Un espresso et du lait avec de la sauce moka et du sirop à la noix caramélisée, garni de crème fouettée sucrée, de sauce au caramel et d’un mélange de sucre turbinado et de sel de mer.


Frappuccino moka au caramel salé

Frappuccino de starbucks

De la sauce moka, du sirop à la noix caramélisée, du café, du lait et de la glace, garni de crème fouettée sucrée, de sauce au caramel et d’un mélange de sucre turbinado et de sel de mer.


Les pâtisseries

Pâtisseries d'automne

Scone à la citrouille

Un scone à la citrouille épicée garni de fromage à la crème sucré.

Muffin citrouille et fromage à la crème

Parfaitement épicé, le muffin à la citrouille est garni de fromage à la crème sucré et saupoudré d’éclats caramélisés de graines de citrouille au goût sucré-salé.

Pain à la citrouille

Un pain légèrement épicé à saveur de citrouille avec des éclats de graines de citrouille.


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Le Norest: une expérience unique en dix services

Le Norest, c’est le nouveau restaurant de Rémi Lemieux et Justin Petitclerc. Ces deux amis de longue date sont les seuls maîtres à bord; Rémi est chef alors que Justin est mixologue et maître d’hôtel, et ensemble, ils s’occupent d’absolument tout!

Âgés de 26 ans, les deux propriétaires du restaurant situé sur le Plateau-Mont-Royal proposent une expérience gastronomique unique en dix services à 70$ avec la possibilité de prendre l’accord vin et alcool pour 50$ de plus, pourboire inclus. Ce n’est pas la première fois qu’on remarque un restaurant montréalais qui inclut le pourboire dans son prix et, comme c’est le cas pour Le Norest, c’est «pour empêcher les malaises».

Portrait des copropriétaires du restaurant Le Norest Rémi Lemieux et Justin petitclerc

Funky et inventive, la gastronomie du Norest promet une aventure sensorielle incomparable.

On peut aussi se rendre au Norest sans réservation pour profiter du menu «snacks» à déguster au comptoir. Et, à compter de 23 heures, il sera également possible d’y aller pour tirer plaisir du volet mixologie en sirotant un cocktail créé par Justin.

Deux cocktails posés sur un bar

Le Norest est en «soft opening» depuis la semaine passée, et il ouvrira officiellement ses portes le 2 septembre 2020. La salle comprend 26 places assises et accueille des clients du mercredi au samedi. Au moment d’effectuer la réservation, Rémi s’entretient avec le client afin de connaître ses intolérances alimentaires certes, mais surtout pour en savoir un peu plus à propos de son aliment préféré. À partir de la réponse, il créera un plat personnalisé au goût du client lors de la soirée. Cela reflète bien le type d’expérience à laquelle on peut s’attendre en allant souper au Norest: personnalisée, extrêmement conviviale, différente, avant-gardiste, intrigante, unique!

Nord-Est/No Rest

Il est audacieux d’ouvrir un restaurant gastronomique au menu de dégustation fixe de dix services en pleine pandémie, et les copropriétaires en étaient bien conscients lorsqu’est venu le temps de choisir le nom du restaurant.

«Moi, je voulais un nom qui sonne boréal, qui fait Québec et Justin voulait surtout un nom qui nous représentait. On était donc face à un dilemme. Un moment donné, on était ici, tard le soir, on venait de décider que ça allait être juste nous deux, qu’on profiterait du fait qu’on est jeunes et immatures pour travailler fort. Justin a alors mentionné que le nom devait venir du fait qu’on ne dort jamais, pis là, il a dit stop: «no rest!». On est restés là-dessus, et puis après, c’est devenu le Nord et l’Est pour le côté boréal. On trouve vraiment que ça nous ressemble! Moi de mon côté, je voulais aussi un nom court qui ne sonne pas français», raconte Rémi.

Plat de pâtes colorées avec fleur de chou

Parcours de chef

Le chef Rémi Lemieux a découvert sa passion pour la gastronomie très tôt dans la vie. Après un passage écourté à l’ITHQ, il a travaillé trois ans pour Giovanni (Jean-Claude) Apollo à l’adolescence.

«Malgré la controverse autour d’Apollo, j’ai appris beaucoup parce qu’il avait vraiment de bons employés en cuisine. Il faisait venir des Français qui avaient travaillé pour des étoilés Michelin. J’ai donc bien été formé», explique le chef.

C’est ensuite dans les cuisines du Pied de Cochon, aux côtés de Martin Picard, qu’il a continué à développer son talent, et plus particulièrement à la Cabane d’à Côté. Alors âgé de 23 ans, il devient le chef de la Cabane! Alliant sa passion pour la cuisine et celle de l’étranger, Rémi voyage à travers le monde pour apprendre des plus grands. C’est d’ailleurs lors d’un voyage en Italie qu’il eut la chance d’effectuer un stage auprès de Massimo Bottura au restaurant Osteria Francescana, un établissement qui cumule trois étoiles Michelin et remporte, année après année, le titre de meilleur restaurant du monde.

Parcours de mixologue

Justin Petitclerc est avant tout un musicien qui baigne dans le secteur évènementiel, alors on est en droit de se demander comment il a pu devenir mixologue dans son propre restaurant…

Le mixologue Justin Petitclerc préparant un cocktail derrière son bar

«Quand on était adolescents, Rémi travaillait au Pied de Cochon, c’était ses premières saisons, et l’hiver, il travaillait moins, donc il s’était parti quelque chose qui s’appelait Chef à la maison. Il m’avait engagé pour être son maître d’hôtel», relate Justin.

C’est donc aux côtés de son acolyte et par intérêt personnel que Justin a développé un talent dans la création de cocktails. L’aspect nostalgique de sa nature de musicien a d’ailleurs influencé plusieurs de ses cocktails.

«Chaque fois qu’on travaillait ou qu’on faisait de la «prep» pour Chef à la maison, on buvait tout le temps ce qu’on appelle des bières-clamato. J’ai donc développé un cocktail pour rendre honneur à cette époque. On fait nos jus de palourdes et de tomates maison et j’en fais une version glacée que je dépose au centre du verre. Je verse ensuite la version non glacée et par-dessus, je saupoudre un mélange de sel de céleri et de palourdes séchées maison. Et pour être en accord avec les adolescents que nous étions alors, on a décidé de le servir avec la bière la plus cheap qu’on a bue ensemble : de la Black Label», a détaillé M. Petitclerc.

Gastronomie québécoise?

La gastronomie québécoise n’est plus sous le joug de la cuisine maison simple et grasse, loin de là! Et même si National Geographic n’a inséré que des plats tels la poutine, la tourtière et le smoked meat dans son top 10 des plats de la gastronomie québécoise à tester absolument, on trouve maintenant des génies culinaires et une gastronomie raffinée, inventive et complètement éclatée au Québec.

Quant aux plats de Rémi Lemieux, ils sont uniques! Qui aurait pu croire qu’un amuse-bouche de popcorn recouvert de togarashi, d’algues séchées et de beurre de homard serait l’accompagnement parfait au Bloody Caesar nostalgique de Justin? Au Norest, on oscille entre gastronomie recherchée et simplicité, tout en étant funky, et où trônent les produits d’ici.

Une main pressant un quartier de citron au-dessus d'un sac rempli de popcorn

Justin et Rémi se partagent le service: Rémi monte les plats de sa cuisine temporaire située au sous-sol et les présente au client, alors que Justin fait de même pour les accords vins/cidres et cocktails en plus de s’assurer du bon déroulement des services.

«Je trouve que le meilleur dans les biscuits, c’est de manger la pâte pendant que tu les cuisines, alors on la sert directement sur le batteur.» – Chef Rémi Lemieux.

Une palette de batteur sur socle garnie de pâte à biscuit

Combien de temps prévoir?

Les propriétaires conseillent aux clients de libérer un bon quatre heures pour vivre l’expérience. Mais pour eux, plus le client demeure longtemps et profitent de leur visite, plus ils sont contents. Pour votre information, sachez que votre journaliste y est restée six heures – six heures qui sont passées comme un coup de vent. Il faut dire qu’entre une bouchée d’huître emballée dans du radis cru assise sur un gel d’algues, recouverte d’échalotes marinées et accompagnée d’un carré de pain brûlé et de beurre fraîchement baratté du matin, et une autre de tartare de flétan à la lavande, aux fleurs, à la framboise, recouvert d’un hachis de champignons sauvages avec un peu de sauce soya, il est difficile de faire vite. Chaque bouchée est remarquable et c’est un réel plaisir de les savourer pleinement.

Beurre frais dans une assiette

Tout est québécois au restaurant Le Norest: la musique qu’on entend, les alcools qu’on boit et les plats qu’on déguste avec grand plaisir.

Tous les plats principaux servis au Norest seront végétariens tout en étant riches et satisfaisants.

«Les plats les plus rustiques, les plus copieux sont végétariens. Par exemple, la sucrine est farcie avec plein de choses comme de la fleur d’ail fermentée et du fromage fumé. En dessous, il y a des chanterelles poêlées et une sauce aux champignons qu’on a travaillée pour qu’elle aille chercher le côté terreux, viandeux qu’on aime», nous explique le chef.

Un plat de sucrine aux champignons

Est-ce qu’on y retourne?

Absolument! Le Norest représente l’essence même de la locution «expérience gastronomique». Et si le menu dégustation dix services peut intimider par son élitisme habituel, il n’en est rien au Norest. Rémi et Justin vous y accueillent avec le sourire dans un décor tout ce qu’il y a de plus rustique et simple.

Le Norest, au 4671 boulevard Saint-Laurent, à Montréal. Il est possible de réserver son expérience dès maintenant en composant le 514 225-9626.


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Kamúy: le nouveau restaurant caribéen de Paul Toussaint

Situé dans l’ancienne Taverne F dans le Quartier des spectacles, le Kamúy propose la cuisine d’inspiration caribéenne du chef Paul Toussaint depuis le 8 août dernier.

Après avoir passé trois ans aux commandes de la cuisine du restaurant Agrikol, Paul Toussaint a eu le goût de réaliser son nouveau projet: être à la fois chef et propriétaire. Avec l’aide de ses deux sous-chefs, Vincent Bolet et Ana Castillo, le chef d’origine haïtienne présente cette fois-ci une cuisine fusion caribéenne à ses clients. «On réinvente les classiques d’une cuisine fusion, en travaillant d’une manière raffinée, plus gastronomique», explique le chef Toussaint.

À manger?

Des mets frais et colorés qui expriment la belle diversité de saveurs qu’offre la cuisine des Caraïbes. Des plats tels le carpaccio de jicama explosent de couleurs et proposent aux papilles une expérience juteuse, croquante et sucrée.

Quant aux célèbres accras, ils viennent farcis de différents ingrédients, et s’accompagnent bien sûr de la traditionnelle sauce Chien. Les moins habitués de la cuisine des Caraïbes pourront découvrir des plats comme le tamal; une papillote garnie d’un curry de chèvre et d’une semoule de maïs enroulée d’une feuille de bananier et cuite à la vapeur.

Un plat de tamal

Pour les amateurs de saveurs douces, sucrées, mais tout de même audacieuses, les dombrés sont tout indiqués! Ces petits dumplings de patate douce (qui ont une apparence semblable à celle des gnocchis) baignent dans une bisque à la noix de coco et s’entremêlent de morceaux de pieuvre grillée. Un délice!

À boire?

Élaborée par la mixologue Valérie Chagnon, la carte des cocktails vient appuyer la philosophie du chef Toussaint. Principalement réalisées à base de rhum, de mezcal et de fruits exotiques, les boissons sont recherchées et complexes, et elles embaument d’enivrants parfums des îles.

Quant à la carte des vins, elle n’est pas en reste! Audacieuse, voire même un peu «funky», on y retrouve des vins nature de toutes les couleurs et de toutes origines. Une courte sélection de vins doux permet aussi de faire des accords mets/vins intéressants jusqu’au dessert.

À voir?

Le chef Toussaint souhaite qu’à travers Kamúy, la culture des Caraïbes rayonne, en passant par la nourriture, mais aussi par l’art. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’on peut y observer les œuvres de l’artiste Oski (Olivier Vilaire) qui signe l’expérience visuelle du restaurant.

Intérieur du restaurant Kamuy

La conception architecturale quant à elle a été pensée par Sophie Buteau. Au fil du temps, les clients du Kamúy pourront observer sur les murs et dans l’espace, des œuvres du photographe Darwin Deleyres, des sculpteurs Remy-Jean-Eddy (Franco) et Normand Hamel, ainsi que du graphiste Williamson Dulcé.

Pour ce qui est du plaisir des oreilles, il n’a pas été oublié! Chaque semaine, des artistes offriront des performances musicales, créant ainsi une ambiance festive et joyeuse parfaite pour célébrer la beauté des Caraïbes.

Kamúy, au 1485 rue Jeanne-Mance, à côté du Musée d’art contemporain

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Des repas gratuits et des spectacles d’humour à l’Abreuvoir

Dans le contexte de la pandémie, l’industrie de la restauration et des bars se retrouve dans une situation critique. La clientèle se fait rare et est hésitante à se déplacer. Plusieurs institutions et nouveaux joueurs ne passeront pas à travers et devront fermer leurs portes. Est-ce que l’offre de repas gratuits incitera les clients à retourner parmi eux?

L’Abreuvoir Bar & Terrasse veut au contraire profiter de la nouvelle réalité pour mettre en place une programmation agréable et sécuritaire, pour répondre aux besoins de ses clients. Se divertir, manger et boire, se sentir en sécurité.

Dans le contexte actuel, c’est primordial d’être à l’écoute de ses clients, de comprendre leurs attentes envers une institution comme l’Abreuvoir et de faire en sorte qu’ils continuent de se déplacer pour venir nous voir.» – Simon Lalonde, associé et gérant de l’Abreuvoir


Programmation

Mardi

Tous les mardis du mois d’août, le spécial « mardis high Five » propose un menu à 5$ sur les pichets de bière, les cocktails (même les doubles) et sur le menu cuisine de 16h à 1h.

Aussi, tous les mardis, le spectacle d’humour GHB, animé par JF Denommée, aura lieu à 21h.
Réservation sur leur page Facebook.

Mercredi

À compter de ce soir, et pour tous les mercredis du mois d’août, c’est le retour des mercredis 100% humour avec Anas Hassouna et DJ JM.

Cette saison, les célèbres spectacles d’humour seront sur la terrasse de l’Abreuvoir. Puisque la capacité est réduite pour respecter les règlements de la santé publique, l’endroit va offrir deux représentations par soir: à 19h00 et à 21h00.
Réservations via le site web de l’Abreuvoir.
Les places étant limitées, seulement des réservations de 2 personnes seront acceptées afin de permettre à tous de profiter de la soirée.

Vendredi et samedis

Pour les fins de semaine, un menu late night est offert à 10$ par repas à compter de 23h00.
Pour le mois d’août, la Maison offre des repas gratuits à tout le monde (limite de 1 repas gratuit par personne).

Au menu?

  • La Poutine – Sauce brune au jus de bœuf braisé, fromage en grain.
  • Chou-fleur Général Tao & légumes grillés – Chou-fleur pané avec la sauce Tao Abreuvoir, sésames rôtis, ail et gingembre. Salade de légumes grillées.
  • Hot Dawgs & frites – Pain brioché vapeur, saucisse de bœuf, fromage, Salade de chou, oignon, mayo, moutarde et tomates.
  • Tacos aux poulet & frites – Poulet grillé, salade de chou et Pico de Gallo.
  • Cheeseburger & frites – Pain brioché, bœuf AAA, fromage cheddar, pickles, laitue, tomate et sauce royale.

Match de hockey du Canadien de Montréal

L’Abreuvoir présente tous les matchs de hockey des séries du Canadien. Réservations de table sur le site web de L’Abreuvoir.

Pichet de bière gratuit pour chaque réservation et ambiance festive.


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