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Comment survivre au stress de Noël

Il faut se garder du temps pour magasiner les cadeaux. Plus on attend, plus ce sera la cohue et plus ce sera stressant. Photo: Métro

Le stress est ce qu’on ressent lorsqu’on a des défis à relever, et peu de moments dans l’année en concentrent autant que les Fêtes : les files d’attente à la caisse, le budget dépassé, les querelles de famille ­– du stress, du stress, et encore du stress!

Alors, dans l’esprit de partage des Fêtes, je vous offre ce petit guide pour vous aider à survivre au stress de Noël.

Il faut se garder du temps pour magasiner. Si vous êtes pressé, arrêtez-vous au dépanneur pour acheter une pile de Kit Kat. Qui n’aime pas le chocolat? Et puis, on peut partager ces tablettes : vous pouvez donner quelques languettes en cadeau, ou la tablette entière, aux personnes qui vous sont les plus chères.

Visiter la parenté peut être particulièrement stressant. Leur maison peut sentir les choux de Bruxelles ou les boules à mites, selon leur âge. Préparez-vous en prenant des Gravol ou en portant un chandail de laine. Dans le doute, faites les deux.

Dans une file à la caisse, on peut tuer le temps en entonnant très fort des chants de Noël. Lorsque je fais cela, la file se raccourcit très vite. J’imagine que ça incite les gens à retourner acheter plus de cadeaux.

Pour atténuer les pressions financières, analysez honnêtement votre situation et respectez votre budget. Si vous achetez quelque chose pour vous-même, soyez économe. Songez à une Jaguar plutôt qu’à une Ferrari. C’est moins cher, et quand même bien joli. Si vous achetez quelque chose pour les autres, respectez les mêmes limites. Pour une personne d’un certain âge, songez à une montre «Rolox», à 10 $. Ça ressemble beaucoup à une Rolex, et la plupart des presbytes n’y verront que du feu.

Voyager léger. Il n’y a rien de plus stressant que de porter une tonne de valises, tout en traînant des bambins larmoyants. Laissez les enfants au comptoir. Vous serez dans l’avion avant que quelqu’un s’en aperçoive. Étant donné les délais inévitables pour trouver un vol de retour, vous devriez jouir de quelques jours de quiétude, sachant que vos enfants sont entre les mains expertes des agents de la protection de la jeunesse.

Tout cela devrait vous aider à atténuer votre stress. Peut-être serait-il plus simple de nous prendre moins au sérieux et de nous concentrer sur ce qui compte vraiment : nous traiter les uns les autres avec respect.

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