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"Je ferai tout en mon possible pour favoriser l'augmentation des projets sociaux et culturels"

Daniel Poulin, candidat pour Équipe Coderre, répond aux deux dernières questions de la rédaction.

Comment favoriser la cohabitation entre les différentes classes sociales ?

Il m’apparait pour le moins spécieux, voire déplacé, de parler de «classes sociales» en 2013.  J’habite rue La Fontaine depuis dix ans; je ne constate aucune problématique de cohabitation entre les divers résidents du quartier, fussent-ils d’origine différente quant à la culture aussi bien qu’à la situation économique. La vie sociale des districts électoraux d’Hochelaga-Maisonneuve sera épanouie et enrichie dans la mesure où toutes les activités proposées par les divers organismes (culturels, sportifs, etc.) ne feront aucune discrimination par rapport aux personnes visées. Si je suis élu maire d’arrondissement, je ferai tout en mon possible pour favoriser l’augmentation des projets sociaux et culturels via la maison de la culture ; de plus, il faudra prioriser les projets mettant en valeur les lieux publics propices au rapprochement entre le plus grand nombre de citoyens. La cohabitation est l’affaire de tous, sans préjugés.

Au lendemain de votre élection, quel sera votre premier geste ?

Je m’assurerai d’abord et avant tout de féliciter et remercier le maire sortant, Réal Ménard, pour les services rendus au cours des quatre dernières années. Quant à mes engagements électoraux, je verrai à ce qu’ils puissent être amorcés, avec l’appui du nouveau conseil d’arrondissement en place. Notamment, sur le plan économique, entretenir une relation privilégiée avec l’exécutif du regroupement des gens d’affaires des rues Ontario et Ste-Catherine. Sur le plan socio-culturel, amorcer des démarches pour augmenter les activités propices à valoriser les talents locaux dans une utilisation maximale des lieux et espaces publics. Finalement, l’éradication progressive de la prostitution de rue dans une optique de travail concerté entre tous les intervenants pour identifier des pistes de solution et d’action visant à déculpabiliser à la fois les travailleuses du sexe et leurs clients. Mon premier souci: la qualité de vie des personnes âgées, surtout celles qui sont aux prises avec des besoins immédiats à cause d’un budget limité.

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