Je t’ai trouvé tellement beau avec tes cheveux noirs court et ta belle barbe toute fraîche, tu es un jeune homme de peau blanche, il était environ 15h30 mercredi le 4 octobre, quand je suis sorti du bus sur mainville, on s’ai dit au revoir 2 fois. Je suis une jeune femme noire avec des cheveux bouclés, un chandail rose avec un sac rose et des jeans troué. On s’ai salué à l’entrée du bus et je suis tombé folle de ton sourire j’espère qu’on ce reverra, je me suis dit qu’avant de commencer ta journée de travail, tu devais lire métro flirt !
Métro Flirt
Chauffeure ligne 107
Bonjour je voudrais rentrer en contact avec le chauffeure de la ligne 107 un bel homme mesurant autour de 5’10 peau noir avec des tattoos le long de son bras avec des beaux yeux en amandes et un jolie sourire en esperant que tu sois celibataire ! Si quelqu’un connait son nom faite signe 🙂
Re à l’étoile filante…
Votre discours me touche au plus point. Pardonner l’impardonnable est surtout un acte de courage et très digne. Vous êtes parmi les rares de ce monde qui ont vraiment compris le message universel. Qu’est-ce qu’il y a de plus irrationnel que tout simplement AIMER…d’amour, d’amitié, de fraternité, etc. Aimer pour les bonnes ou pour les mauvaises raisons…c’est l’intention qui compte avant meme qu’on ait le temps d’agir afin de le démontrer quel qu’en soit les raisons. Même le plus cartésien des hommes n’arriverait pas à l’expliquer. À mes yeux…vous êtes en sorte un gardien des âmes errantes cherchant la vérité absolue…mais qui la détient celle-là ???
Re: À l’étoile filante/ Nostalgie…
Je te remercie du fond du coeur pour tous tes messages et avec les détails que tu y donnes en même temps, je me sens très concerné …J’ai beau regarder à droite, à gauche, en arrière, en haut et en bas pour voir si ce n’est pas pour quelqu’un d’autre que ça s’adresse, c’est ton image qui me reviens en face. Je me suis reconnu et je t’ai reconnu, dans tes textes… À l’époque, j’avais l’impression que lorsque tu me voyais, tu prenais la « sortie de secours » pour m’éviter et cela me chagrinait… Je me faisais aussi à l’idée que tu étais sûrement en couple avec un autre monsieur… On ne se voyait pas et les rares fois où je te voyais, nous parlions presque pas, à part un petit bonjour accompagné d’un sourire… Maintenant, je comprends un peu mieux…Je suis d’accord avec toi dans tes écrits, sauf sur un point où deux…Il va falloir qu’un de nous deux, accepte de piller sur son orgueil et contacte la personne aimée dans un avenir rapproché car j’ai besoin, moi aussi, de te parler et de te rassurer ! Bonne journée, au plaisir de te revoir le plus tôt possible…xxx☺☺☺
À ma chère étoile filante…
Bonjour à toi bien-aimé… Ne crains rien! Ne crains pas d’être rejeté, c’est un mal pour un bien…avant même qu’une porte se ferme, une autre s’ouvre, par la grâce du ciel…les grandes blessures ne se cicatrisent d’avec le temps et beaucoup d’amour! Le temps et l’amour font renaître la confiance en soi…l’art difficile d’évoluer est lié à notre capacité d’utiliser le rejet et autres épreuves pour apprendre à devenir une meilleur personne malgré le rejet… C’est pourquoi je suis là…faire du mal un bien…le comportement blessant de l’autre n’est souvent pas lui-même, mais plutôt l’expression de sa souffrance, alors que l’amitié c’est aussi de l’amour, un sourire pour dire merci, un café pour rire du bon beau temps, ça jamais fait mal à personne…ne laisse pas le rejet vous diviser, ni d’être tout ce vous pouvez être, car un jour l’un aura besoin de l’autre, dans la joie comme dans la douleur… N’aie pas peur d’être rejeté, aie plutôt peur d’être accepté pour les mauvaises raison… Un jour le rejet se rendra compte qu’il a perdu la lune pendant qu’il comptais les étoiles…parce tu as beaucoup aimé… Le Seigneur aussi a été rejeté par Amour, et pourtant il brille dans les cieux… Dans ce monde où, j’erre, nous devons nous apercevoir, toi toute vêtue de lumière, moi composé de devoir… Ma bien-aimé notre histoire se ressemble… Merci
La menteuse du métro; Kherraz wissam
Le mardi 3 octobre à 19h30 j’ai pris le métro pour rentrer vers un chez moi diffèrent sans toi. Assis dans un coin perdu j’ai repensé à toutes les belles expressions qui sortaient de ta bouche et je n’avais jamais douté qu’elles pouvaient être superficielles. Tu ne manquais jamais de charme, tu ne manquais jamais de respect mais au fond tes regards cachaient la double trahison et le mensonge parfait. Les gens se croisent dans la vie comme dans les stations de métro et finissent tous par aller dans des directions différentes, je dirais aussi que je manque de mots pour exprimer un chagrin profond comme l’océan mais pour être en paix avec moi¬-même j’ai choisi de te pardonner car je sais que le pardon fera de moi un homme meilleur. Adieu l’amour dont j’ai rêvé longtemps.
À cricri…
Comment pourrais-je l’étouffer ? Puisque je n’ai jamais vécu avec…
la fille avec des lunettes
Salut tu étais dans l’autobus 160 mardi le 3 octobre on à echanger quelque regard tu es sorti sur la rue Bernard je crois avant de sortir tu mas fait un sourire si jamais tu te reconnais j’attend de tes nouvelles moi j’était habiller en sport le teint binzane avec une casquette
homme descendu à Sherbrooke
Vendredi le 29 septembre, vers 14h30 sur la ligne orange, on s’est croisé brièvement le temps d’une station, tu es descendu à la station Sherbrooke. j’avais une veste bleue sport entre les mains et je tenais un livre. Merci de m’écrire un mot ici